Le Grand Morning sur RTL2

SURVIVRE DANS UNE EQUIPE DE MECS

Si comme moi, vous êtes la seule fille au bureau, et que vous n’avez pas du tout envie de jouer pour la poupée de service, voici quelques conseils prodigués par Patrick Amar, psychologue et coach de dirigeants.

Prudence sur la vie perso : « Quoi qu’on en dise, la relation homme/femme est rarement dépourvue de séduction, consciente ou non, explique le psy. Les fantasmes ne sont jamais très loin. » Alors dites-en suffisamment sur vous pour créer un lien chaleureux avec vos collègues, mais sans trop vous dévoiler, pour ne pas que ça se retourne contre vous.

Parler des enfants, du mari, du week-end OK. De ses problèmes de couple ou de célib NON.

Parler vrai, tout simplement : Ne tournez pas autour du pot dans ce monde où on appelle un chat, un chat, au risque de passer pour la fille compliquée ou prise de tête. « Les hommes sont plus attachés au contenu, les femmes aux processus, explique le psychologue. La femme pourra discuter longuement de la manière dont elle peut arriver à un résultat. Un homme ira à l'essentiel pour atteindre son objectif, quel que soit le moyen. »

Assumer votre féminité : Imiter les hommes, que ce soit dans la gestuelle ou dans la façon de parler, peut être mal perçu. « Une femme qui joue au mec est castratrice, à leurs yeux. Ce n’est pas ce qu’ils en attendent, même au travail » nous dit-il.

Mettez plus tôt en avant vos compétences tant appréciées des hommes : la qualité d’écoute, de gestion des conflits, le tact, la délicatesse et l’empathie.

VOYAGEZ L’ESPRIT TRANQUILLE

Arriver jusqu’à deux heures à l’avance à l’aéroport et faire la queue pour enregistrer ses bagages n’est plus une fatalité. Un nouveau service, LibertyBag, se propose de le faire à votre place, moyennant 50€ pour 5 bagages.

Le principe est on ne peut plus simple : On commence par réserver, au plus tard trois jours avant le départ, soit par Internet (www.libertybag.fr) soit par téléphone (01.45.28.87.87).

Le paiement se fait par carte bancaire, puis un conseiller décide avec vous de l’heure de l’enlèvement des bagages, la veille du départ, où que vous soyez, chez vous ou à l’hôtel. Tout est pesé, emballé et sécurisé en votre présence avant de partir, direction l’aéroport.

Une fois arrivée à destination, pas la peine d’attendre non plus devant le tapis roulant. Vos bagages sont une nouvelle fois pris en main et livrés directement à l’adresse de votre choix, au plus tard 6 heures après l’atterrissage.

Un scénario idéal mais pas encore valable sur toutes les destinations, reconnait le fondateur de LibertyBag. Sur les lignes françaises, métropole ou Antilles, pas de soucis. Pour l’instant le service est aussi présent en Allemagne, en Italie et en Espagne. Avant d’autres destinations.

En revanche, pas de LibertyBag sur des destinations plus sensibles comme les Etats-Unis.

Et pour ceux qui vont prendre le train, pas de jaloux. Le service bagages de la SNCF se charge de tout. Seule condition : pas de bagage de plus de 30kg. L’enlèvement peut se faire sur rendez-vous, au plus tard la veille, mais on peut aussi déposer le bagage à la gare. Après emballage, le bagage est ensuite expédié à l’adresse de votre choix, dès le lendemain, ou plus tard, comme vous voulez. Autre option possible : que ce soit un de vos amis qui récupère votre valise à condition qu’il est un email de confirmation.

SOURCE : LE PARISIEN / AUJOURD'HUI EN FRANCE

CHRONIQUE CINEMA

IRON MAN 3 de Shane Black avec Robert Downey Jr et Gwyneth Paltrow

Tony Stark alias Iron Man va devoir une nouvelle fois troqué son costume d’homme d’affaire pour son armure.

Dos au mur et face à un ennemi encore plus puissant, il  ne peut plus compter que sur son ingéniosité et son instinct pour protéger ses proches.

Alors qu’il se jette dans la bataille, il va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?

De l’humour, de l’action, un Robert Downey Jr toujours aussi déjanté et surtout des effets spéciaux spectaculaires qu’accentue la 3D. En somme, un blockbuster réussi.

Télé 7 jours donnent 5 étoiles, Le Parisien 4 et Le Journal du dimanche 3

L’ECUME DES JOURS de Michel Gondry avec Romain Duris, Audrey Tautou, Gad Elmaleh et Omar Sy / Interview de Romain Duris par Mathilde Courjeau à retrouver sur RTL2.fr

Adapter un roman célèbre au cinéma est toujours un pari risqué. Alors s’attaquer à ce livre culte de Boris Vian, relève du défi ultime.  « L’Ecume des jours » raconte l’histoire surréelle et poétique d’un jeune homme idéaliste et inventif, Colin (Duris), qui tombe amoureux de Chloé (Tautou).

Mais leur idylle va être frappée par la maladie de Chloé, qui a un nénuphar qui grandit dans son poumon.

Les 2 personnages sont entourés de leurs amis : Chick (Gad Elmaleh) fanatique du philosophe Jean-Sol Partre, et Nicolas (Omar Sy), cuisinier et confident de Colin.

4 étoiles pour Première et Le Parisien, 2 pour Elle et Studio Cine Live

 

EGALEMENT DANS LES SALLES :

LA CAGE DOREE de Ruben Alves avec Rita Blanco, Joaquim de Almeida, Roland Giraud et Chantal Lauby

 

 

NEW YORK COSMOS : L’INVENTION DU FOOT PAILLETTES

Il y a plus de 40 ans, le Cosmos,  équipe de foot New-Yorkaise  a réussi à faire plus bling bling que le Qatar ne fait actuellement avec le PSG.

Ce club a été rêvé par 3 hommes au début des années 70 : Steve Ross, le patron de la Warner, et les frères Ertegün, propriétaires d’Atlantic Records. Ce trio se lance alors dans un défi insensé, car à l’époque, les Etats-Unis ne pèsent absolument rien sur la mappemonde du football,

Sans véritable star, le Cosmos vit donc dans l’ombre des sports phares que sont le basket et le base-ball. Au milieu des années 1970, pour y remédier, la Warner va alors décider de frapper un grand coup : Engager le plus grand joueur de tous les temps, le roi Pelé.

Retraité depuis 1 an, mais criblé de dettes, le brésilien sait qu’il doit rechausser les crampons s’il veut se refaire. Après de longues négociations, Pelé s’engage avec le Cosmos avec à la clé un juteux contrat. Aussitôt le contrat paraphé, l’euphorie gagne le pays.

Le 1^er match de Pelé est suivi par plus de 10 millions de spectateurs et des milliers de personnes l’attendent devant le stade. Son arrivée donne un coup d’accélérateur : Les stades se remplissent et d’autres stars signent au Cosmos : Franz Beckenbauer entre autre.

Le joueur Allemand, superstar du football découvre un autre monde : « Parfois dans le vestiaire je pensais être à Hollywood. » Et pour cause. En plus d’enchainer les victoires, ces rock stars du foot fascinent le showbiz : Mohamed Ali, les Rolling Stones, Steven Spielberg et Robert Redford se pressent pour poser avec les joueurs. Voire plus. Un joueur raconte : « Je me rappelle qu’une fois le coach a surpris un type aux cheveux longs, complètement shooté, dans un coin de notre vestiaire. Enervé, il a demandé à la sécurité de l’évacuer immédiatement. Ce type, c’était Mick Jagger. »

L’ancien directeur de la com des Cosmos raconte même que « lors d’un trajet en avion de l’équipe, ou des fans étaient présentes, deux actes sexuels eurent lieu pendant le vol ! »

LES LUNETTES VRAIMENT HORS DE PRIX

Alors qu’un Français sur 2 a besoin de lunettes, plus de 2 millions de personnes renoncent à s’en acheter. La raison : le prix.

Dans une étude publiée hier, l’UFC-Que choisir dénonce le prix « exorbitant » des lunettes. La France est même le pays d’Europe où l’on y consacre le budget le plus élevé : 75 € par habitant et par an, contre 28 € en Italie. « C’est 50 % de plus que la moyenne européenne », appuie le président de l’association de consommateur.

Le renoncement aux soins est aussi favorisé par le taux ridicule de remboursement des lunettes par l’assurance maladie. La preuve en chiffre : sur un marché de plus de presque 5 milliards d’euros, elle rembourse seulement 270 million d’euros !

Et même si vous avez une complémentaire santé, vous devez encore financé plus de 40 % du prix de vos lunettes, soit une moyenne de 205 €, selon les calculs de l’UFC.

Des opticiens trop nombreux : C’est, pour l’UFC, la cause principale de ces prix prohibitifs. « En 12 ans, le nombre de magasins a augmenté de presque 50 %, quand la population n’a elle augmenté que de 8 %. A Paris, il y a 3 fois plus d’opticiens par habitant qu’en Seine-Saint-Denis… », nous dit la chargé de l’étude.

Conséquence : « Il se vend moins de 3 paires de lunettes par jour travaillé et par magasin. » Et alors que les chiffres d’affaire sont en baisse, les frais de fonctionnement comme le loyer, eux, sont en hausse.

Comment les opticiens ont-ils résolu cette équation ? Pour le savoir, l’UFC a décortiqué le tarif d’une parte de lunettes. Partant d’un prix moyen de 470 €, et sachant que verres et montures coûtent 112 € en moyenne,  l’association affirme que 275 € vont directement dans la poche de l’opticien. 139 € servent à couvrir les frais et 60 € ceux de marketing. « Une paire achetée 118 € est revendue 393 € HT » détaille-t-on à l’UFC. Soit une marge brute de 233 % !

SOURCE : LE PARISIEN / AUJOURD’HUI EN FRANCE / DIRECT MATIN / 20 MN

CHRONIQUE NATURE : des idées mode écoresponsables

A l’occasion de la journée de la Terre qui avait lieu hier, on a décidé de se pencher sur les marques qui ont su enfin faire rimer mode et nature.

Depuis que Greenpeace a dénoncé, dans le cadre de la campagne « Les Dessous toxiques », le prêt-à-jeter dans la mode, les créateurs réfléchissent à des méthodes plus respectueuses de l’environnement.

Et tous s’y mettent, de Zara à Uniqlo. Sans oublier H&M et sa la ligne Conscious, entièrement conçue à partir de matériaux respectueux de l'environnement, comme  le polyester recyclé.  Vanessa Paradis a d’ailleurs été choisi comme ambassadrice de cette collection.

Puma se frotte aussi au concept écologique « Cradle to Cradle » (0 pollution, 100 % recyclable) en lançant une collection entièrement biodégradable ou recyclable. Baptisée InCycle, elle regroupe des tee-shirts, un sac et des baskets qui, une fois jetés, se transforment en compost naturel au bout de 6 mois.

Fondée par le chanteur Bono et sa femme Ali Hewson, Edun est la première marque de luxe issue du développement durable à s'établir en Afrique.

Elle collabore avec Diesel pour un projet de jean « Made in Afrique », la marque a déjà fabriqué 700 000 t-shirts 100 % africains, de la plantation à la couture.

Enfin Adidas et Stella McCartney s’appuient sur la technologie DryDye (teinture sèche) développée par la marque pour éviter le gaspillage d'eau. "Pour teindre les vêtements du monde entier, on utilise l'équivalent de l'eau contenue dans la Mer Méditerranée tous les deux ans", relève le communiqué d'Adidas. Ses t-shirts produits sont en magasin depuis l’automne dernier.

LA ZOOTHERAPIE

QU’EST-CE QUE LA ZOOTHERAPIE ? : C’est une forme de prise en charge thérapeutique qui utilise la présence d’animaux familiers. Elle est proposée à des enfants, des adolescents, des adultes ou même des personnes âgées souffrant de troubles physiques, psychologiques, mentaux ou sociaux, en complément des traitements classiques.

QUELS SONT SES BIENFAITS ? : De nombreuses recherches ont démontré que la présence d’animaux est positive pour le moral et la santé humaine. Elle peut favoriser la diminution de la douleur, du stress, de la fréquence cardiaque, des tensions artérielle et musculaire. L’animal ne juge pas, ne critique pas. Les personnes fragilisées se sentent en confiance auprès de lui. C’est une véritable cure de tendresse et d’émotions positives.

LES ENFANTS SONT-ILS PARTICULIEREMENT RECEPTIFS ? : Oui, car ils ont des relations privilégiées avec les animaux. Un enfant malade a tendance à se replier sur sa maladie. La présence d’un animal peut rendre plus acceptables les périodes d’hospitalisation et de traitement. Le simple fait de jouer avec un chien, un cochon d’Inde ou un lapin, de caresser sa fourrure est une source de joie, qui aide à réduire le stress et la douleur.

COMMENT SE PASSE UNE INTERVENTION ? : Les séances sont individuelles ou collectives. Les patients, jeunes ou âgés, jouent avec les animaux, les brossent, les caressent. L’animal sert de médiateur au zoohérapeutes pour entrer en contact avec les patients.

QUI SONT LES ANIMAUX ZOOTHERAPEUTES ? : Des chiens : caniches, bergers australiens, terriers du Tibet, cavalier king-charles… Il y a aussi des lapins et des cochons d’Inde, qui très communicants : ils viennent se placer sous la brosse pour être coiffés. Certains thérapeutes utilisent des chevaux ou des lamas. Ces animaux sont des « professionnels ». ils sont préparés et reçoivent une éducation très spécifique.

 

CES OBJETS FETICHES QUI TRÔNENT SUR NOS BUREAUX

Les salariés auraient-ils besoin que leurs doudous les accompagnent au travail ? Oui, à en croire une étude publiée en décembre dernier, puisque 57 % des Français auraient des objets personnels sur leur bureau.

« Ce n’est pas un signe de puérilité, nous dit un professionnel, mais plutôt un acte de rassurance, de bien-être et donc, par ricochet, de meilleure productivité. »

Cette étude, qui est basée sur les réponses de 22 000 cadres et dirigeants de 80 pays, établit le top 5 des objets fétiches les plus appréciés. Arrivent en tête les œuvres d’art (tableaux, sculptures ou lithographies), citées par 15 % des sondés comme « indispensables » puisque « source d’inspiration et moyen de s’évader du quotidien ».

Viennent ensuite les photos de famille, les cartes de visite qui attestent l’air de rien de l’importance de son réseau amical et professionnel, les dessins des enfants et le dictionnaire.

En fin de course, on retrouve les porte-bonheur, les objets religieux et les diplômes universitaires. « Humaniser et personnaliser son espace de travail est devenu capital, explique une consultante. D’autant que l’on passe tous à peu près plus d’un tiers de notre vie au bureau, et de plus en plus en open spaces… »

Ces petits objets, en plus de recréer une atmosphère réconfortante, montre également à nos collaborateurs que l’on a une vie en dehors du bureau. « Ces bibelots paraissent anodins, ajoute une consultante en communication. Mais ils ajoutent de l’humain dans les relations professionnelles : ils permettent d’échanger et de briser la glace. »

Au niveau légal, rien n’empêche les salariés de personnaliser leur bureau. « Sauf si les objets personnels entravent les règles d’hygiène et de sécurité ou qu’ils perturbent. »

Et bonne nouvelle pour toi Christophe. Le Code du travail ne prévoit pas d’interdiction absolue pour l’introduction d’alcool au travail puisqu’il tolère « le vin, la bière, le cidre et le poiré ».

CHRONIQUE TENDANCE : LE RENOUVEAU DE LA CUISINE ASIATIQUE

Les stars, particulièrement du son pop-rock ne jurent que par les sushis ! Nicola Sirkis ne mange que ça avant une interview (Gregory vous le confirmera), Lenny Kravitz a dessiné sa propre boite pour Sushi Shop… Mais on se doit de leur dire : le sushi, c’est fini ! La nourriture asiatique a le vent en poupe, et il y a même de nouvelles tendances !

LA BOUCHEE VAPEUR… avec les innovations du fast-food Mum Dim Sum. Exemple de ces recettes inédites : crabe & citron vert, poulet basilic thaï, bœuf citronelle, saumon kaffir… Pas encore de bouchée vapeur viande de grison Christophe…

www.mumdimsum.com

OMUSSUBI : C’est la nouvelle venue de la cuisine nippone, à base de boulettes de riz garnies de viande, de poisson ou de légumes.

www.mussibi.fr

BO BUN : Le grand classique viet fait un alléchant retour à la cantine Saï, à Paris dans le 8^ème, où il se décline en 8 versions, de la plus traditionnelle (bœuf, poulet satay) à la plus originale (colin et menthe fraîche, beignets de légumes et mangue…)

www.sai-bobun.fr

 

 

LE BENTO (Un grand classique du Grand Morning) : il s’offre une nouvelle jeunesse. Et Christophe, on en a testé un qui ne peut que te plaire : Le Bento à base de whisky Nikka. C’est simple, tout est à base de whisky.

Au menu : beignets d’aubergine farcie au poulet et aux noix et whisky.

Maki de foie gras 10 ans d’âge, Single Malt et en dessert, mochi (pâte à base de farine de riz gluant shiratama) au chocolat au lait et pomme cuite… là encore au whisky !

Le prix : 25 € avec la boite bento offerte / www.souslescerisiers.com

LES MARQUES SURFENT SUR L’ACTUALITE

Courant mars, Ikea incitait ses clients à acheter ses coussins Hallö à travers une affiche publicitaire qui disait « Allô ? Non mais allô quoi ? T’es une chaise et t’as pas de coussin ? » 

Si le filon de la phrase de Nabilla s’est arrêté net après qu’elle ait déposé à l’Institut national de la propriété industrielle, la tendance des publicités qui surfent sur l’actualité perdure. En avril, les 3 Suisses a mis en ligne une pub en référence à l’affaire Cahuzac (« J’avoue… Moi aussi j’ai un compte aux 3 Suisses »).

Le plus gros risque pour les marques est que l’actu change brutalement. Comme pour Jet Tours qui incitait les Français à profiter de ses promos lors de la présidentielle de 2002 avec le slogan : « On peut rater le 1^er tour mais pas ses vacances. » Avec Jean-Marie Le Pen qualifié au second tour, la pub a fait un énorme flop.

DES ANNONCEURS ADEPTES DE L’EXERCICE :

SIXT (loueur de véhicules) : L’enseigne avait déjà surfé sur la politique avec « Faites comme madame Bruni, optez pour un petit modèle français ». Elle a récidivé avec une annonce parue en novembre 2012 lors des élections de l’UMP : « M .Copé, M. Fillon, chez Sixt, pas d’ambiguïté, tout le monde gagne ». Ou encore une allusion à l’exil fiscal de Depardieu « Chez Sixt pas besoin de passeport russe pour faire des économies ».

RYANAIR : La compagnie aérienne alimente les polémiques comme lorsqu’elle se moque de Gérard Depardieu urinant dans un avion Air France : « Nous ne sommes pas les seuls à pisser sur la concurrence. » Ou profite début 2008 du mariage entre Carla Bruni et Nicolas sarkozy pour vendre 100 000 billets à prix cassés : « Avec Ryanair, toute ma famille peut venir assister à mon mariage », songeait sur l’affiche l’ex-top modèle. L’irrévérence de la marque lui vaudra un procès et 60 000 € d’amende.

SOURCE : LE PARISIEN ECO