Il y a plus de 40 ans, le Cosmos,
équipe de foot New-Yorkaise a réussi à faire plus bling bling que le
Qatar
ne fait actuellement avec le PSG.
Ce club a été rêvé par 3 hommes au début des années 70 : Steve Ross, le patron de la Warner, et les frères Ertegün, propriétaires d’Atlantic Records. Ce trio se lance alors dans un défi insensé, car à l’époque, les Etats-Unis ne pèsent absolument rien sur la mappemonde du football,
Sans véritable star, le Cosmos vit donc dans l’ombre des sports phares que sont le basket et le base-ball. Au milieu des années 1970, pour y remédier, la Warner va alors décider de frapper un grand coup : Engager le plus grand joueur de tous les temps, le roi Pelé.
Retraité depuis 1 an, mais criblé de dettes, le brésilien sait qu’il doit rechausser les crampons s’il veut se refaire. Après de longues négociations, Pelé s’engage avec le Cosmos avec à la clé un juteux contrat. Aussitôt le contrat paraphé, l’euphorie gagne le pays.
Le 1er match de Pelé est suivi par plus de 10 millions de spectateurs et des milliers de personnes l’attendent devant le stade. Son arrivée donne un coup d’accélérateur : Les stades se remplissent et d’autres stars signent au Cosmos : Franz Beckenbauer entre autre.
Le joueur Allemand, superstar du football découvre un autre monde : « Parfois dans le vestiaire je pensais être à Hollywood. » Et pour cause. En plus d’enchainer les victoires, ces rock stars du foot fascinent le showbiz : Mohamed Ali, les Rolling Stones, Steven Spielberg et Robert Redford se pressent pour poser avec les joueurs. Voire plus. Un joueur raconte : « Je me rappelle qu’une fois le coach a surpris un type aux cheveux longs, complètement shooté, dans un coin de notre vestiaire. Enervé, il a demandé à la sécurité de l’évacuer immédiatement. Ce type, c’était Mick Jagger. »
L’ancien directeur de la com des Cosmos raconte même que « lors d’un trajet en avion de l’équipe, ou des fans étaient présentes, deux actes sexuels eurent lieu pendant le vol ! »
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