Depuis
leur arrivée à Paris, il ne se passe pas une journée sans qu’on entende parler
du roi David et de sa reine Victoria : des VRAIS stars ! Et pourtant,
ils sont comme vous et moi… Entre deux défilés et une séance d’entraînement au
PSG, ils privilégient leur vie de famille et l’éducation des enfants… Comme
nous, je vous dis.
Avec
Vic, David a choisi l’Europe. Plus précisément Paris et Londres. Pour l’amour
du PSG ? Pas seulement. C’est surtout pour parfaire l’éducation de leurs
trois garçons et de leur fille. Fini la bagatelle et le rêve américain. On
retourne à l’essentiel : ses racines.
Malgré
les nounous, les gardes du corps, les chauffeurs, les chefs cuisiniers, les
agents, les attachés de presse, le couple a décidé de vivre comme vous et moi.
Papa et maman, qui ont mis leurs enfants dans un lycée privée londonien, se
chargent chaque matin de déposer leur progéniture.
A
la maison, pas question qu’un domestique débarrasse les assiettes de pates
bolognaises préparées par David (qui a pris des cours de cuisine lors de son
passage en Italie). Non, Brooklyn, Romeo et Cruz sont priés de débarrasser la
table après chaque repas. De même, chaque matin, ils doivent faire leur lit,
sinon, pas d’argent de poche. Mais ses règles, David se les applique. Sans être
maniaque, il préfère ranger lui-même ses chemises… dans un ordre bien
spécifique.
Discrétion,
repli sur soi, le couple a décidé d’affiner son rapport aux bonnes manières et
à la bonne éducation. Et à ce qu’en disent leurs amis, ça marche :
Heidi
Klum : « Leurs enfants sont les
mieux élevés du monde ; Quand ils sont invités à des anniversaires, ils
envoient une carte de remerciement. »
Karl
Lagerfled : « Romeo est la
perfection. Beau, mignon, bien élevé. Je connais beaucoup d’enfants de stars et
ceux-là, je peux vous dire, vous pouvez les garder à la maison. »
Et
pour cause ! Avec Victoria, ils doivent filer doux. A la maison, il y a
une chaise sur laquelle ils vont s’asseoir pour réfléchir dès qu’ils ont fait
une bêtise. Victoria appelle ça la chaise des supplices !
SOURCE : Gala