Le Grand Morning sur RTL2

CHRONIQUE CINEMA

LIBRE ET ASSOUPI de Benjamin Guedj avec Charlotte Le Bon, Baptiste Lecaplain et Félix Moati

Sébastien n'a qu'une ambition dans la vie : ne rien faire. Son horizon, c'est son canapé. Sa vie il ne veut pas la vivre mais la contempler. Mais poussé par ses deux colocs, Anna et Bruno qui enchainent petits boulots et stages, Sébastien va devoir faire… un peu !

4 étoiles pour le JDD, 3 étoiles pour Le Monde et Les Fiches du Cinéma

Vous retrouverez l’interview des trois acteurs au micro de Mathilde Courjeau sur RTL2.FR

LA VOIE DE L’ENNEMI de Rachid Bouchareb avec Forest Whitaker et Harvey Keitel

Le réalisateur d’ « Indigènes » s’est inspiré d’un classique du film noir français, « Deux Hommes dans la ville », avec Delon, Gabin et Bouquet pour signer son nouveau long métrage.

Pas question ici de remake. L’histoire se déroule à la frontière des Etats-Unis et du Mexique. On suit William Garnett, libéré après 18 mois passés derrière les barreaux pour le meurtre d’un shérif adjoint ; Garnett est bien décidé à retrouver une vie tranquille avec sa petite amie…

Mais le shérif, joué par Harvey Keitel, ne l’entend pas de cette oreille… Thriller haletant qui récolte les 4 étoiles du JDD, du Parisien et du Monde.

EGALEMENT DANS LES SALLES :

SABOTAGE de David Ayer avec Arnold Schwarzenegger, Sam Worthington et Olivia Williams

ARTHUR NEWMAN de Dante Ariola avec Colin Firth et Emily Blunt

DE GUERRE LASSE d’Olivier Panchot avec Jalil Lespert

 

LA CHASSE AU GASPI PASSE AUSSI PAR LES LAMPADAIRES

Une idée lumineuse, voilà ce que cherche les 36 000 communes de France pour réduire leur facture d’électricité… dont la moitié vient des équipements d’éclairage public, comme les lampadaires par exemple.

Il y a bien sur une solution radicale : plonger les endroits les moins fréquentés dans le noir après une certaine heure. Mais ce n’est pas du tout du gout de tout le monde, notamment en matière de sécurité.

Mais les communes vont devoir de toute façon faire travailler leurs méninges  parce qu’ l’Union Européenne a imposé à la France de moderniser son parc luminaire avant avril 2015, sous peine de sanctions.

Un problème de taille quand on sait qu’en France, il y a plus de 9 millions de lampadaires ! Un parc immense donc, qui nécessite chaque nuit une puissance équivalente à celle d’un réacteur nucléaire récent. Et les matériels sont aussi pour la plupart obsolètes… Surtout les fameuses « boules diffusantes », qui éclairent plus que le ciel que la terre…

Parmi les villes concernées, on trouve évidemment Paris qui a déjà commencé son relooking lumière. Limoges teste en ce moment sur ses routes des luminaires LED dont l’intensité varie en fonction du trafic.

Ou aussi Bordeaux qui teste depuis novembre ses lampadaires intelligents dont la lumière varie en fonction de la fréquentation. Quand une voiture, un cycliste ou un piéton passe sous un lampadaire, un signal se déclenche et envoie l’information aux trois suivants qui se mettent en marche. Et quand la rue est déserte, la lumière baisse, sans jamais s’éteindre… Cette expérience, observée dans le monde entier, pourrait faire baisser la facture de 70%...  

SOURCE : LE PARISIEN / AUJOURD’HUI EN FRANCE

POURQUOI LES DANOIS SONT SI BIEN DANS LEUR PEAU ?

Comme Pharell, on veut tous notre part de bonheur. C’est d’ailleurs le sujet en vogue en ce moment. On en parle partout, à la télé, dans les journaux et donc… à la radio.

Et comme pour tout, il y a des champions. Et ceux qui remportent la palme du bonheur, ce sont les Danois. Il faut dire qu’on n’a pas grand-chose en commun avec eux :

A Noël, ils s’offrent des slips et des épluches-pommes de terre, ils votent massivement à chaque élection, sont content de payer leurs impôts, et attendent que le feu passe au rouge pour traverser, même à trois heures du matin. Mais quels sont leurs secrets pour être toujours « happy » ?

Déjà, ils aiment l’école : le système danois ne cultive pas d’élite. L’important n’est pas d’être le meilleur. Le but des profs : que tout le monde comprenne et qu’il n’y ait aucun exclu.

Les enfants savent se débrouiller tout seul : Les 2/3 des 13-17 ans ont un job à côté de l’école pour payer eux-mêmes leur loisir, sans demander à papa-maman.

Ils ont des attentes réalistes : Comme les Danois ne s’attendent pas à être les meilleurs, ni à briller devant les autres, ils sont plus satisfaits de leur situation et de ce qu’ils ont.

Ils quittent le bureau à 16h et n’hésitent pas à faire une partie de leur travail à la maison pour mieux s’occuper des enfants et de la famille.

Ils détestent les vantards : Tu connais la « loi de Jante » ? C’est un concept basé sur la modestie, qui dit qu’il ne faut pas se croire supérieur aux autres ni penser qu’on peut leur apprendre quelque chose.

Et enfin, ils ne connaissent pas la galanterie : Au Danemark, quand un homme propose un rendez-vous galant à une femme, il n’est pas forcément obligé de l’inviter à dîner. Très souvent, la femme paie sa part, et calcul même parfois la somme exact de ce qu’elle a commandé.

Une Danoise raconte qu’après un rendez-vous, son compagnon d’un soir la ramène chez elle, et une fois devant sa porte lui demande gentiment de payer… une partie de l’essence. Rien de plus normal là-bas.

SOURCE : LE POINT

NATURE – VIVE LE COMMERCE EQUITABLE

Vous (qui nous écoutez), toi Christophe, moi, nous tous en fait, on est de plus en plus sensible aux bienfaits du commerce équitable qui rapproche producteurs et consommateurs tout en pensant à l’environnement et au bien-être de ses employés. 

Selon une étude qui vient de paraître, nous sommes 8 sur 10 à acheter des produits issus de ce commerce.

Il faut dire que la notoriété du commerce équitable est passée de 9% en 2000 à 99% en 2011…

Une réussite donc, mais on peut encore mieux faire comparé à nos amis Suisse et Britanniques, consommateurs assidus des produits équitables.

Et s’il y a un bon moment pour s’y mettre, c’est maintenant !  Depuis le week-end dernier et jusqu’au 18 mai, c’est la Quinzaine du commerce équitable avec plus de 800 évènements programmés dans toute la France.

A Bordeaux, un village équitable et solidaire a été installé. Au menu brunch équitables et marchés de produits locaux.

Mais le rendez-vous majeur, le clou du spectacle  et je sais que tu t’y prépares depuis déjà un moment, c’est la Fair Pride, le 18 mai, à Paris.

3 000 personnes sont attendues pour ce carnaval équitable. Et en exclusivité, je vais dévoiler le costume que toute l’équipe t’a préparé :

Chaussette en foin, short à la mode écossaise en coton bio. En dessous, on garde ton string en terre cuite, parfait pour l’occasion. Pour le haut, chemise en chanvre et cravate en fibre recyclée.

Pour se joindre au mouvement, faites comme Chris, foncez sur www.quinzaine-commerce-equitable.fr

 

4 BONNES RAISONS D’ARRÊTER DE FAIRE PLUSIEURS CHOSES A LA FOIS

Aujourd’hui, une chose est sure : on est tous devenu multi-tache, capable de faire plusieurs choses à la fois tout au long de la journée. On pourrait se dire : « Chouette, je suis hyper-productif ! ». Eh bien, c’est faux ! Et on va vous donner des raisons de ralentir un coup …

Déjà parce que le « multitasking » est mauvais pour nous. Jonglez entre plusieurs choses en même temps fait monter notre niveau de stress. Des chercheurs américains ont mesuré le rythme cardiaque d’employés dont certains avaient accès à leurs mails et d’autres non. Résultat : ceux qui recevaient beaucoup de mails étaient constamment en état d’alerte avec un rythme cardiaque bien plus élevé que les autres.

Le « multitasking » étouffe notre créativité : Quand on est toujours sollicitée et occupée, on n’a pas une minute à nous, et notre esprit n’a pas le temps de vagabonder, et ça bloque donc notre créativité. Des chercheurs Britanniques recommandent même des moments dédiés totalement à la détente au travail.

Le « multitasking » nuit à notre mémoire : Changer tout le temps d’activité a le même effet que quand on lit un bouquin devant la télé… On ne retient rien ou pas grand-chose.

Et enfin le « multitasking » fait grossir : On l’a déjà dit, mais il n’y a rien de pire que de manger devant un écran. On ne fait pas attention à ce qu’il y a dans l’assiette et on est plus difficilement rassasié. Un récent article dans une revue médicale américaine a démontré que la quantité avalé augmente de 10 % quand on mange devant la télé ou l’ordi.

SOURCE : TOPSANTE.COM

RETROUVONS LE GOÛT, LE VRAI

Aujourd’hui Chris, tu l’as dit, c’est la journée internationale sans régime. Pas question donc de parler sans-glutens, végétaliens ou frutivores. On va parler du GOUT !

Alors si on savait qu’il existait quatre saveurs fondamentales – sucré, salé, acide et amer – il y en a une 5^ème qu’on ne connaissait pas avec Christophe, c’est l’umami, qui veut dire « savoureux » en japonais. C’est super tendance en ce moment, et ça donne un aspect fourrure sur la langue… why not ?

On a aussi appris que le sel peut avoir un goût sucré ! Mélangé à des aliments amers comme l’endive ou le café, le sel bloque l’amertume et favorise la perception du sucré.

Et c’est plutôt pas mal parce que les produits sucrés comme les aliments gras ont un effet apaisant, qui comme les drogues, libère de la dopamine et donc du plaisir.

Mais attention, parce que comme avec la cigarette, on peut être dépendant au sucre et au gras. La seule différence c’est qu’un fumeur aura besoin de sa cigarette dès le réveil, alors que les pulsions alimentaires surviennent en fin d’après-midi, quand on est fatigué et stressé

La culture joue aussi un rôle. En France nos traditions culinaires ne mettent pas en avant le mélange salé-sucré. Du coup, nos sodas contiennent moins de sucre que dans les autres pays et c’est tant mieux !

On apprend aussi que l’environnement acoustique influe sur notre perception du goût. Par exemple, manger du chocolat en écoutant du jazz le rend plus savoureux.

Mais ce n’est pas tout, la vue aussi joue un rôle particulier. Vous pouvez tromper des œnologues. Il suffit de quelques gouttes d’un colorant rouge dans un verre de blanc pour qu’ils lui attribuent toutes les caractéristiques du vin rouge. La raison : les signaux visuels arrivent 10 fois plus vite au cerveau que le goût ou l’odorat.

SOURCE : CA M’INTERESSE

TENDANCE – VIVE LE COLLABORATIF !

Contrairement à la phrase d’Antoine Lavoisier « Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme », aujourd’hui, rien ne se perd car tout se partage !

Un nouveau modèle économique est en train de voir le jour, celui du collaboratif. Et aujourd’hui, les jeunes ne rêvent plus de posséder une voiture, ils veulent juste en avoir une sous la main quand ils en ont besoin.

Pareil avec le « couchsurfing » qui permet de se loger gratuitement dans le monde entier (plus de 5 millions d’adeptes).

Surfant sur ce succès, un Français a lancé www.echangedefinitif.com, un site pour échanger définitivement son logement, avec des frais de notaire réduits. On met son logement sur le site avec l’estimation d’un professionnel et contre quoi on souhaite l’échanger, appartement ou maison.

Et il n’y a pas que sur la Toile où ce modèle collaboratif se met en place.

« Les Accorderies », concept solidaire venu du Québec, propose aux habitants d’un même quartier de se regrouper pour échanger entre eux des services non rémunérés comme des cours de cuisine, des réparations etc…

Il y a aussi les « repair café » qui se développent en France. On vient avec son objet à réparer et des bénévoles s’en occupent gratuitement.

 

RIRE, IL N’Y A QUE CA DE VRAI !

Hier matin, pendant une heure sur la plage de Frontignan dans l’Hérault, 200 personnes se sont réunis pour s’esclaffer pendant une heure.

Ces rigologues ont exercé leurs zygomatiques, se sont marrés comme le font les signes, les mouettes ou les baleines pour finir en un éclat de rire, revendiqué comme le plus grand de France en cette Journée nationale du rire.

Au siège de la très sérieuse Ecole internationale du rire, on continue d’apprendre à rire pendant une semaine. Les rigologues confrontent leurs savoirs et multiplient les ateliers, pour résister à la morosité.

Il faut dire qu’avec le temps du rire qui a chuté vertigineusement en 75 ans en France, passant de 39mn à 2mn par jour, et les études très tendance sur le bonheur, la rigologie a de quoi se développer.

Et comme on sait que le rire est un ingrédient du bonheur,  on voit moins ces rigologues comme des Martiens.

2 000 animateurs ont été formés et plus de 500 000 personnes ont déjà participé à des séances.

Car oui, la rigologie peut aussi être une thérapie contre la dépression. Elle permet de faire renaitre le naturel rieur qui est en nous, de prendre du recul dans notre vie professionnelle et surtout de se lâcher complétement pendant une heure.

Il n’est plus rare que des employés eux-mêmes organisent des séances de yoga du rire dans l’open space avant une réunion importante.

SOURCE : LE PARISIEN / AUJOURD’HUI EN FRANCE

 

LEURS NOUVELLES ASTUCES POUR REVENDRE VOS DONNEES

En mars dernier, des centaines de milliers d’adeptes de WhatsApp - une messagerie instantanée sur mobile - se sont déchaînés sur le web ! La raison de leur colère ? Le rachat par Mark Zuckerberg de leur appli.

Leur crainte ? Voir leurs données personnelles utilisées à des fins publicitaires. Zuckerberg a dépensé 14 milliards pour cette appli qui réalise à peine 15 millions de chiffres d’affaires.

Mais voilà, récupérer une communauté de 450 millions de fans et consommateurs, ça n’a pas de prix.

Pour les sites dont la majorité des revenus vient de la pub, l’enjeu est de monétiser leurs audiences auprès des annonceurs. Une liste de contact dont on connait seulement l’âge, le sexe ou la profession coûte 36 centimes d’euros les mille. Et plus les données sont précises, plus les prix montent. C’est ce modèle économique qui a fait la fortune de Facebook.

Et ce n’est que le début puisque les outils d’intrusion sont de plus en plus sophistiqués. Les plus connus sont les cookies, ces mouchards qui observent nos moindres faits et gestes sur la Toile.

Plus sournoise, il y a la technique du « retargeting ». Tu passes par Google pour aller sur monbeaupoêllon.fr, et une pub pour du fromage de Savoie te poursuit. Tu as été victime de cette arme diabolique.

Et avec les Google Glass, ça va aller encore plus loin. Google pourra enregistrer où se porte notre regard, sur quelle vitrine, quel panneau publicitaire, et nous enverra des pubs en rapport.

Même les techniques de mise en avant des annonces deviennent sophistiquées. Grâce à la complicité de Facebook, les annonceurs peuvent maintenant insérer des messages commerciaux dans le flux d’actualité.

Plus prometteur encore, la diffusion simultanée d’une pub sur le Web et un autre média. C’est-à-dire qu’au moment où un sport passera à la télé, une promo liée sera envoyée sur notre téléphone ou tablette.

Pour contrer ce matraquage publicitaire, des petits malins ont inventé à leur tour un nouveau business : celui des boucliers antipub, comme Adblock Plus, inventé par des allemands et qui a déjà 250 millions d’utilisateurs.

SOURCE : CAPITAL