Le Grand Morning sur RTL2

CHRONIQUE TENDANCE : VOTRE JEAN EN LEASING

Pour trouver des vêtements pas chers, il y a les friperies, les soldes ou les déstockages. Dorénavant, il y a une nouvelle façon de garnir sa garde-robe sans dégarnir son porte-monnaie : La location de vêtements.

Mud Jeans, une entreprise de sportswear néerlandaise vous permet, comme pour une voiture ou un appartement, de louer votre jeans à l'année.

Les jeans, explique-t-on sur le site, sont produits à partir de coton recyclé et selon les meilleures normes. Et pour faciliter le recyclage, la compagnie les propose en location annuelle.

Concrètement, vous devez régler un droit d'entrée de 20 € + un abonnement mensuel de 5 € pendant un an. Ce qui vous donne droit aussi à une réparation si vous faites un accroc à votre jean.

A la fin de l'année, vous pouvez soit renvoyer votre pantalon en échange d’un nouveau, et le cycle repart donc pour une année supplémentaire.

Soit, pour ceux qui ne veulent pas s’en séparer, vous pouvez le conserver contre 4 mois de loyer supplémentaire.

On est donc assuré de toujours porter un jean à la mode. Et la démarche a évidemment une vocation écologique, avec le recyclage et le développement durable.

Le - : Après calcul, au tarif mensuel, cela fait tout de même le jean à environ 80 € par an. Pas certain que ce soit très rentable si vous conservez les vôtres plus de trois ans.

LES INSECTES BIENTÔT DANS L’ASSIETTE

Muffins aux sauterelles, quiche aux larves ou crème pâtissière aux œufs de mouche… Le génie culinaire humain ne connaît pas de limites. Mais, pour l’heure, ces inhabituels délices ne sont pas autorisés en Europe.

Début mars, un jeune homme l’a appris à ses dépens, alors qu’il trimbalait 94 kilos de chenilles séchées dans ses valises, destinées à sa consommation personnelle. Intraitables, les douaniers britanniques lui ont confisqué son pique-nique.

Pourtant, ces bestioles constituent une source de protéines à ne pas négliger pour le bol alimentaire de l’homme du 21^ème siècle. « La demande de protéines animales va augmenter de 70 à 80 % d’ici à 2050. On ne peut pas s’affranchir de l’insecte » assure un scientifique.

Dans le monde, près de 3 milliards d’individus se régalent déjà d’environ 1 400 espèces, de l’araignée à la chenille géante, en passant par les sauterelles et les scorpions. « C’est le défi des cuisiniers d’en faire quelque chose », estime un chef.

Se faire servir un consommé de sauterelles dans un restaurant est pour l’instant totalement interdit. Mais à Haarlem, aux Pays-Bas, un restaurant propose des brochettes de crocodile rehaussées de criquets poêlés. Le chef, Mark Van Kimmenaede, se fournit, plutôt officieusement, auprès des magasins s’alimentation pour animaux !

Même s’il aime cuisiner ces bestioles, le chef ne croit pas que l’entomophagie cartonnera en Europe. « C’est une nourriture qui peut plaire le temps d’une soirée, pour la découverte, mais je ne vois pas les Européens se nourrir d’insectes. » D’autant que c’est encore cher, le criquet de 2 grammes coûte 23 centimes.

Pourtant plusieurs expérimentations ont été faites, comme des boulettes de viande moitié insectes, moitié bœuf, servies en aveugle à des goûteurs : 9 fois sur 10, les consommateurs ont préféré les boulettes à base de grillons plutôt que celles 100 % bœuf.

SOURCE : LIBERATION

SMART BOY

Il n’était pas né à la création de Yahoo ! Et voilà qu’il en devient l’étendard. Nicholas D’Aloisio-Montilla, un anglais de 17 ans, petit génie de l’informatique, vient de voir son application Summly rachetée pour un montant estimé à plus de 23 millions €. Et en prime, la société américaine l’a embauché.

On n’avait pas encore vu un patron de start-up aussi jeune. Il bat Mark Zuckerberg, qui avait 19 ans à la création de Facebook.

A 5 ans, il passe son temps à apprendre par cœur le nom de toutes les galaxies et constellations. 4 ans plus tard, son père lui offre son 1^er ordinateur, et il s’attaque au montage de vidéo ou de programmes télé… à 9 ans donc. Mais utiliser des logiciels ne lui suffit pas, il veut les créer.

A 12 ans, il se lance dans la programmation informatique. Après l’école, il court développer des applis sur son iPhone.

Mais alors qu’il révise un contrôle d’histoire, il ne trouve pas ce qu’il cherche sur le Net. Il a alors LA bonne idée : « Je me suis dit qu’il faudrait avoir les résumés des articles avant de cliquer dessus. » Et c’est ainsi que naît Trimit, une appli capable de condenser en 5 lignes n’importe quel article en repérant les mots-clés du texte. Il a 15 ans.

Téléchargée plus de 30 000 fois, elle suscite l’intérêt d’un millionnaire hongkongais, qui investit 234 000 €. « Cela avait quelque chose d’effrayant, dit Nick. Ce qui n’était qu’un loisir s’est transformé en métier.»

Fin 2012, il lance une nouvelle version rebaptisé Summly. Plusieurs 100aines de milliers de personnes sont séduites. Et attire 780 000 € de nouveaux investisseurs, dont Yoko Ono et Ashton Kutcher.

Le début d’année 2013 couronne son travail. Yahoo! mise sur lui. Nick, propulsé sous les projecteurs, et riches de plusieurs millions, ne s’est offert qu’une paire de Nike, un nouvel ordi et des vacances pour sa famille. Sa mère raconte que « malgré Yahoo !, quand il rentre à la maison, il continue de ranger sa chambre. »

BEST OF DU GRAND MORNING # 30 / 5 AVRIL 2013

Des bons moments, Dieu sait si on en vit de 6h à 9h du lundi au vendredi ! Mais quand arrive le week-end, on ne garde que le meilleur… Et on vous l’offre ! Tout est dans le Best Of. Ça ne vous suffit pas ? Alors pour d’autres grands moments, programmez vos radios-réveils sur Christophe Mercier demain et dimanche.  Nous, on vous dit : bon week-end et à lundi les amis !

Téléchargement RTL2 GRD MORNING BEST OF 30 - 05.04.13

CHRONIQUE EVASION : Voyages, l’heure est au partage et au système D

Une nouvelle génération de start-up est en train de bouleverser notre façon de partir en vacances : plus de choix et des prix en baisse.

A entendre Philippe Moati, économiste à l’Observatoire société et consommation, dans quelques années, plus personne n’hésitera à passer ses vacances sur le canapé d’un inconnu. «Jusqu’à présent, l’hébergement chez l’habitant était plutôt pour des étudiants à sac à dos. Mais la tendance est en train de se banaliser dans tous les milieux.»

C’est la même chose avec le covoiturage, l’échange des billets de train sur Internet ou la location de la voiture du voisin : le partage est en train de devenir le must pour partir pas cher.

Echanger sa maison va devenir de plus en plus simple 

Trocmaison, propose 41 000 logements sur les 5 continents, et son principal concurrent Homelink plus de 13 000. Les utilisateurs ­déposent des appréciations sur chacune des maisons, si bien qu’on sait à peu près où l’on met les pieds.

Autre option pour décrocher une maison de rêve à tous petits prix : le gardiennage. Partirtranquille.com ou Plusbelleslesvacances.fr proposent d’arroser les plantes ou de nourrir les chats dans les villas des autres pendant ses vacances.

Moins cher que chez Avis, la location de voiture entre particuliers

Fondé il y a à peine 2 ans, Drivy, un site de location de voitures entre particuliers a de plus en plus d’adeptes. Normal, ses prix (25 euros par jour) sont d’un tiers inférieurs à ceux des Avis, Europcar ou Hertz. Mais le site n’est pas le seul sur ce créneau. Un concurrent pointe son nez : Le site Luckyloc met en relation les voyageurs avec les compagnies de location, qui doivent sans cesse rapatrier leurs véhicules d’une ville à l’autre. Le trajet ne coute qu’1 € !

Les Billets de train se trouvent désormais d’occasion sur internet

« De mon ordinateur à la maison, je concurrence la SNCF !» jubile Bernard Thomas, le créateur de Trocdestrains, un site de revente pour les particuliers. Il reçoit des centaines de tickets par jour. «Les vendeurs n’ont pas le droit de prendre de commission, ni de faire monter les enchères». En janvier, on trouvait un Paris-Perpignan à 49 euros, un trajet vendu 115 euros sur le site de la SNCF…

QU’EST-CE QUI SE CACHE DERRIERE CES CHIFFRES ?

« Dites 33 ! », et pourquoi pas 12 ou 36 ? Parce qu’avant l’arrivée du stéthoscope, ce chiffre permettait au patient qui le prononçait, de produire des sons suffisamment graves pour que les médecin puisse sentir les vibrations de sa cage thoracique.  

Attendre 107 ans : C’est le nombre d’années que les fidèles ont dû attendre pour que soit enfin terminée la cathédrale Notre-Dame-de-Paris.

S’en moquer comme de l’an 40 ! : On doit cette expression aux royalistes qui, après la mise en place du calendrier républicain (en 1792, l’an 1 donc), n’imaginaient pas une seconde que cette période révolutionnaire tiendrait longtemps, si bien que les réformes mises en place n’étaient pas à prendre au sérieux puisqu’elles n’atteindraient jamais l’an 40. Et l’Histoire leur a donné raison puisque le calendrier républicain a été abandonné en 1806 (l’an 14), et donc l’an 40 n’a bel et bien jamais existé.

3 pelés et un tondu : Cette expression qui décrit une assemblée sans intérêt, vient de l’époque où les hommes portaient des perruques et désignaient ainsi, avec mépris, les gens de qui ne pouvaient pas s’en payer une…

Saviez-vous que Google est un chiffre. Il vient de googol, nom trouvé par le neveu d’un mathématicien qui ne savait pas comment baptiser le chiffre 1 suivi de 100 zéros.

SOURCE : MAXI

LES FRANÇAIS POUR DE VRAI

Ça m’intéresse a passé en revu 27 clichés qui nous collent à la peau, et qui pourtant ne sont pas tous vrais.  On en a sélectionné quelques-uns.

La France, le paradis des fromages : FAUX

Avec 28kg par an et par habitant, les Grecs sont les premiers consommateurs de fromage au monde. Ils nous devancent de peu : nous absorbons 23kg de fromage par an et par personne. A lui seul, le Grand Morning en consomme 14kg.

Nous sommes amoureux de la bouteille de vin : FAUX

Depuis 1980, la proportion de consommateurs réguliers est passée de 51% de la population à… 17% aujourd’hui. Avec 53 litres par habitant et par an, les Luxembourgeois boivent plus que les Français.

Nous avons une hygiène plus que douteuse : FAUX…

… même si des progrès restent à faire. Selon un sondage, 12 et demi % des Français ne se lavent toujours pas les mains en sortant des toilettes.

Un sondage de 1951 publié dans le Elle révélait que 37% des femmes ne faisaient leur toilette complète qu’une fois par semaine. Aujourd’hui, 71% de la population déclare prendre au moins une douche par jour.

Les Françaises incarnent le summum de l’élégance : VRAI

Dans une enquête menée en 2012, les Françaises arrivent au top du classement des nationalités les plus élégantes du monde, devant les Italiennes, les Espagnoles et les Britanniques.

La mauvaise humeur est érigée en mode de vie : VRAI

En 2007, une étude du ministère du Tourisme montrait que le principal grief adressé aux Parisiens était « leur attitude méprisante voire agressive ».

Nous sommes les meilleurs amants du monde : FAUX

D’après un sondage réalisé en 2009 auprès de 15 000 femmes de 20 pays différents, les meilleurs amants sont… les Espagnols, les Brésiliens et les Italiens.

Nous sommes derniers de la classe en langues étrangères : VRAI

L’anglais de nos présidents est un sujet de plaisanterie dans la presse internationale. Mitterand ne le parlait pas, Chirac se débrouillait avec un lourd accent français, et Sarkozy était notoirement complexé. La situation s’améliore avec François Hollande, qui n’hésite pas à répondre à des interviews en anglais.

Nous sommes un peuple écrasé d’impôts : VRAI

TVA, CSG, IRPP, TIPP, IS, ISF, CRDS, taxe foncière, taxe d’habitation… Selon la comptabilité nationale, le total des impôts de toutes natures et des cotisations sociales prélevées en France, en 2011, sur les particuliers et les entreprises, est l’un des plus élevés du monde : 43,9% du PIB.

Quand le magazine demande à Stephen Clarke, écrivain anglais qui vit en France depuis 20 ans, pourquoi reste-t-il chez nous, il répond : « A cause votre qualité de vie. Le rêve d’un français ? Être salarié pendant 40 ans dans la même boîte, ne pas trop travailler et profiter de sa retraite chez lui. Le rêve d’un Anglais : avoir une bonne idée, faire plein de fric en bossant comme un âne, et finir ses jours à boire du vin… en France !

CHRONIQUE SHOPPING : MENAGE DE PRINTEMPS SANS BOUGER DE SON CANAPE

Bon d’accord, le temps n’est pas trop là pour nous le rappeler, mais c’est le printemps, et qui dit printemps dit grand ménage. Le problème c’est qu’on est pas toujours super motivé. Shopping des fainéants donc ce matin avec tout ce qu’il faut pour ne pas bouger de son canapé.

POUR LES VITRES : E.ziclean Windoro

C’est le 1er robot laveur de vitre au monde. Il nettoie vos fenêtres sur toute leur surface en pulvérisant sa solution nettoyante. Équipé de 2 modules aimantés, il peut couvrir jusqu'à 15 mètres carré en 1 seule charge. Seul problème, ne rien faire ça a 1 prix : 499 €

C’est très cher mais si ça vous tente : www.e-zicom.com

POUR LES ECRANS : Auto Mee S

Pour les gros fainéants maniaques, le fabricant de jouet japonais Takara Tomy a lancé Auto Mee S, un tout petit robot qui nettoie un smartphone en 4mn et une tablette en 8mn.

Prix : 15 €

POUR LA CHAMBRE : Le lit Ohea.

Spécialisée dans la literie, la marque vous permet de ne plus faire votre lit. Une fois que vous êtes levé, les bras robotiques du lit remettent les draps en place en 50 secondes chrono. Le lit devrait être très bientôt commercialisé. (On vous met la vidéo sur la page Facebook et le blog)

POUR LE JARDIN : Le Green’Bot – Le premier Robot arroseur

Ce robot, toujours à l’état de prototype mais déjà vainqueur de nombreux concours, associe 2 technologies : un système d’analyse de trajectoire (comme dans les aspirateurs autonomes) + une station météo. L’engin monté sur 4 roues, alimenté par un panneau photovoltaïque est autonome mais il doit être raccordé à un point d’eau pour remplir sa fonction.

Le fonctionnement est simple : on promène le robot une 1^ère fois pour lui apprendre le trajet. Ensuite il répète le parcours en tenant compte de la pluie tombée récemment.

LA BISE, UNE AFFAIRE D’HOMMES

2 couples d’amis se retrouvent au restaurant avec leurs compagnes. Qui se fait la bise ? Il y a une 10aine d’années, la réponse aurait été évidente : les femmes !

Mais les mœurs ont, semble-t-il, suffisamment évolué en France pour que le bon vieux serrage de main soit, dans un nombre croissant de cercles d’amis, remplacé par un bisou plus fraternel. La famille, longtemps seule structure où les hommes pouvaient se faire la bise, a perdu son monopole.

Dorénavant on embrasse aussi son vieux pote. Les films ‘de copains’ comme « Le cœur des hommes » ou « Les petits mouchoirs » immortalisent cette nouvelle tendance.

Selon une psychosociologue, l’explication réside dans le fait que « ce sont les trentenaires qui ont le plus intégré les transformations des luttes féministes des années 1960-1970. Avant les manifestations affectueuses étaient plutôt féminines. Mais depuis que les femmes ont obtenu plus d’égalité socio-professionnelle, les hommes ont moins besoin d’afficher leurs différences. Ils peuvent s’épiler ou se mettre de l’anti-cerne sans tomber de leur trône. »

Mais attention car la bise entre hommes peut devenir un réflexe mal accueilli par ceux qui ne la pratiquent pas. D’ailleurs en mai 2012, lors de l’avant-première de Men in Black 3, à Moscou, un journaliste avait tenté d’embrasser Will Smith comme il en a l’habitude avec les personnalités qu’il interviewe. Résultat, l’acteur lui a mis une gifle !

Car dans les autres pays, la bise entre hommes est loin d’être la norme. Aux Etats-Unis, les hommes se font une accolade, un hug. En Polynésie, on se frotte le nez et le front. En Russie on s’embrasse sur la bouche. En Egypte, on s’embrasse sur le front. Et en Afrique de l’Ouest on attrape le majeur de l’autre entre le pouce et l’index après la poignée de main.

QUAND LA MUSIQUE SOIGNE

On sait que la musique adoucit les mœurs. Mais peut-elle soigner les cœurs ? Et bien, des chercheurs japonais viennent de faire une expérience incroyable. Ils ont effectué une greffe cardiaque à des souris après leur avoir passé une bande musicale.

Objectif : voir si la musique pouvait détendre les rongeurs au point d’influer sur leur système immunitaire et retarder le rejet du cœur greffé. Résultat des courses : oui, le cœur implanté aux souris mélomanes a tenu plus longtemps que chez celles qui n’avaient pas eu droit à la préparation musicale.

Bien sûr, on sait tous qu’une mélodie peut jouer sur notre humeur. Mais qu’en est-il des effets sur des personnes malades et hospitalisées ? A Boston, des scientifiques ont montré que les personnes atteintes d’Alzheimer retiennent des phrases entières si celles-ci sont chantées plutôt que parlées. Dans le Maryland, des chercheurs ont prouvé que 30 minutes de musique instrumentale par jour pouvaient faire diminuer son taux de cholestérol.

A l’hôpital, on croit de plus en plus en la musicothérapie. Par exemple, pour diminuer les médicaments dans le traitement de la migraine ou même de l’anxiété. Au CHU de Montpellier, après 60 jours de musicothérapie, le nombre de patients qui prenaient des anxiolytiques a baissé de 20 % !

Cette technique s’appuie sur plusieurs points. « D’abord, la musique détourne tout simplement l’attention de la douleur, c’est pour ça que le type de musique doit être choisi par le patient » rappelle un musicothérapeute.

Un bon bouquin ne ferait-il pas l’affaire ? « Non, car il y a une composante émotionnelle très puissante de la mélodie, qui joue aussi sur la composante émotionnelle de la douleur. »

Un neurologue ajoute que « la mélodie, le rythme et le tempo, l’harmonie, le timbre et le volume peuvent tous présenter un intérêt thérapeutique. On est sensible à une musique qui nous parle, précise-t-il. Impossible de prescrire tel morceau dans telle maladie. » D’après lui, la musique est donc une vraie thérapie puisqu’elle rend service en médecine.