Sous l'empilement de réglementations, la composition exacte d'un produit alimentaire devient difficile à comprendre.
Une diététicienne explique que "Si le nom, le poids, la date limite sont obligatoirement regroupés sur la même face de l'emballage, les autres mentions dites facultatives peuvent être dispersées, ce qui complique le travail du consommateur"
1ère chose à savoir : l'étiquette donne toujours la liste des ingrédients présents dans un produit, du plus important au moins présent. Un paquet de biscuit doit donc donner en tête de liste la ou les céréales entrant dans sa composition.
La diététicienne ajoute que "dans un plat cuisiné à base de viande, les protéines doivent toujours être plus importantes que les lipides" et elle livre un autre conseil avisé : "Le plat ne doit pas dépasser 400 calories par portion."
Ça se complique dès qu'on s'intéresse aux additifs. Ils sont en générale, employés pour conserver, rehausser le goût ou embellir l'aspect d'un produit. Mais on ne sait pas grand-chose sur eux.
La diététicienne alerte donc : "Il faut surtout éviter les E110 et E124".
L'usage intensif d'huile de palme soulève de grandes questions. Et pour cause : "Une fois transformée de liquide en solide, l'huile de palme contient des acides gras transformés, très mauvais pour la santé". Dans ce cas l'huile de palme est dite "hydrogénée". Voilà aussi pourquoi certains fabricants indiquent qu'ils peuvent l'utiliser dans sa forme "non hydrogénée", donc non transformée.
LES BONNES GRAISSES
Certains lipides sont fortement conseillés, cars ils participent à l'entretien d'une bonne santé. C'est le cas des polyinsaturés, dont les fameux oméga 3, présents notamment dans les poissons gras ou l'huile de lin.
Résultat : Mangez des sardines !!!
SOURCE : MIDI LIBRE
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