Aujourd’hui Chris, tu l’as dit, c’est la journée internationale sans régime. Pas question donc de parler sans-glutens, végétaliens ou frutivores. On va parler du GOUT !
Alors si on savait qu’il existait quatre saveurs fondamentales – sucré, salé, acide et amer – il y en a une 5ème qu’on ne connaissait pas avec Christophe, c’est l’umami, qui veut dire « savoureux » en japonais. C’est super tendance en ce moment, et ça donne un aspect fourrure sur la langue… why not ?
On a aussi appris que le sel peut avoir un goût sucré ! Mélangé à des aliments amers comme l’endive ou le café, le sel bloque l’amertume et favorise la perception du sucré.
Et c’est plutôt pas mal parce que les produits sucrés comme les aliments gras ont un effet apaisant, qui comme les drogues, libère de la dopamine et donc du plaisir.
Mais attention, parce que comme avec la cigarette, on peut être dépendant au sucre et au gras. La seule différence c’est qu’un fumeur aura besoin de sa cigarette dès le réveil, alors que les pulsions alimentaires surviennent en fin d’après-midi, quand on est fatigué et stressé
La culture joue aussi un rôle. En France nos traditions culinaires ne mettent pas en avant le mélange salé-sucré. Du coup, nos sodas contiennent moins de sucre que dans les autres pays et c’est tant mieux !
On apprend aussi que l’environnement acoustique influe sur notre perception du goût. Par exemple, manger du chocolat en écoutant du jazz le rend plus savoureux.
Mais ce n’est pas tout, la vue aussi joue un rôle particulier. Vous pouvez tromper des œnologues. Il suffit de quelques gouttes d’un colorant rouge dans un verre de blanc pour qu’ils lui attribuent toutes les caractéristiques du vin rouge. La raison : les signaux visuels arrivent 10 fois plus vite au cerveau que le goût ou l’odorat.
SOURCE : CA M’INTERESSE
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