Le Grand Morning sur RTL2

L'AMOUR A LA LETTRE

1)  Qui a l'outrecuidance de surnommer son appendice "l'ambassadeur" ?

A-  Les Gabonais

B-  Les Congolais

C-  Les Brésiliens

Réponse : B, les Congolais, les Sénégalais disent aussi " Bazooka".

2)  Le Kâmasutra, on le pratique tous. Mais au fait, ça veut dire quoi ?

A-  Livre du plaisir

B-  Aphorismes du désir

C-  Recueil de l'amour charnel

Réponse : B, aphorismes du désir.

3)  Que fait-on quand on pratique le petting?

A-  Des caresses érotiques sans rapport

B-  Des caresses érotiques à son chien (ou toute autre sorte d'animaux)

C-  Des bruits avec ses organes génitaux

Réponse : A, des caresses érotiques sans rapport.

4)  Qu'est-ce qu'un beurre demi-sel?

A-  Un sex-toy culinaire

B-  Une jeune femme qui n'a eu que quelques amants

C-  Un bisexuel

Réponse : B, une jeune femme qui n'a eu que quelques amants et c'est toujours au masculin.

5)  Les miches, c'est du pain bénit pour les argotiers. Mais que pétrit-on vraiment ?

A-  Les fesses

B-  Les seins

Réponse : Les deux !

6)  Gare aux cougars. Mais d'où viennent-elles ?

A-  De l'ouest américain, parce que le cougar c'est avant tout un puma en réalité

B-  De leur affection intercourse

C-  Des vestiaires de l'équipe de hockey sur glace de Vancouver, les Canucks

Réponse : C, des vestiaires de l'équipe de hockey sur glace de Vancouver, les Canucks. Les joueurs appelaient ainsi les femmes mûres bizarrement très assidues à leur match.

7)   A qui doit-on ce bon mot : "Dans la vie, la pornographie est moins banale que la connerie…C'est bien dommage ! " ?

A-  Larry Flynt

B-  Michel Houellebecq

C-  Bret Easton Ellis

Réponse : A, Larry Flynt, rien d'étonnant de la part du fondateur du très cochon Hustler.

SOURCE : LIBERATION

GET LUCKYSEZ-VOUS !

Get Lucky ! Ce n’est vraiment pas de chance si vous ne le connaissez pas. En même temps, difficile dépasser à côté de ce tube jailli du casque des Daft Punk qu’on vous diffuse même dans Pop Rock Party. Alors pourquoi ce tube planétaire des Daft issu de l’album Random Access Memories nous rend la vie plus funky. Pourquoi ce carton ? Explications de Sophie Fontanel dans le Figaro Madame…

Parce que Get Lucky est rapide : Son rythme, mais aussi son succès ! Une semaine après sa sortie, le 19 avril, le titre était la 4^ème chanson la plus diffusée dans le monde. La plus achetée aussi.

 Get Lucky est dans le New York Times : le 29 mai, énorme article dans le puissantissime journal américain. En résumé : « It’s Happy, It’s Danceable, It May Rule The Summer…» (C’est joyeux, dansant, sûr que ce sera le tube de l’été…). Si le New York Times le dit, c’est quand même une référence.

Get Lucky fait appel à nos souvenirs : Les mauvaises langues disent qu’on a l’impression d ‘avoir entendu 100 fois cet air dans les années 70-80. C’est vrai. Sauf que les jeunes d’aujourd’hui sont nés dans les années… 90 ! Au-delà d’un souvenir pour les plus vieux, la force du titre, c’est de toucher bien plus : l’inconscient collectif !

Get Lucky a un message : La chanson dit que le monde est une catastrophe, que si on se fie à ce qui se passe autour de nous, ça sent méchamment la fin (« Our ends were beginning ») et que nous n’avons qu’une seule force face à ce désastre annoncé : oser être heureux !

Get Lucky n’est pas ironique : la merveille de cette chanson, c’est qu’elle a beau être lucide (monde atroce), elle est exempte de tout cynisme. Elle propose une attitude totalement positive et mondialiste de manière pleine d’espoir. En plus, ça nous vient de petits français qui chantent en anglais.

Get Lucky parle d’une langue qu’on avait peut-être oublié : Celle de l’envie de vivre ! Et lancée par 2 hommes aux allures de robot. Chic et ultramoderne.

 

SOURCE : MADAME FIGARO  

CHRONIQUE : BONS PLANS DE L'ETE

Fan de Louis de Funès comme moi ? Si vous passez en Loire-Atlantique, vous serez donc heureux d'apprendre qu'un musée lui a été dédié… Je vous explique tout dans la chronique bons plans de l'été.

Inauguré hier, le Musée de Louis retrace la vie palpitante de ce grand acteur. Au cœur de la Loire-Atlantique, dans le village de Cellier, sa dernière demeure n'est qu'autre que le château de Clermont, où il aimait s'occuper de ses roses et pêcher.

Roselyne Duringer, directrice de ce mini-musée, précise que l'exposition porte sur la carrière de l'acteur, sur son investissement dans le village et avant tout sur l'homme qui l'était !

Sa carrière (musique, cinéma et théâtre), ses goûts mais aussi ses souvenirs, des projections régulières de films comme la Folie des Grandeurs  avec ses célèbres répliques…Et là, je crois que c'est l'heure d'en écouter " il est l'or…"  

Dans une salle dédiée à ses objets personnels : sa boîte de pêche, son matériel de projection ou même son bonnet de ski ! Vous trouverez même des lettres pleines d'humour envoyées à ses proches. Toute l'intimité de l'acteur est donc réunie dans ce musée et nul part ailleurs.

Enfin, sachez que le parrain du musée n'est qu'autre que Michel Galabru.

L'entrée 5€.

Allez voir sur le site : museedelouis.org.

BONS PLANS DE L'ETE

Ce week-end, coup d'envoi de la saison des festivals avec l'incontournable Solidays à l'hippodrome de Longchamp, près de Paris. La 15eme édition du festival solidaire et le 20eme anniversaire de l'association Solidarité Sida. Une belle réussite avec plus de 170.00 spectateurs sur 3 jours.

Les moments forts : Saez, la Mojo Party de –M- avec Mc Solaar en guest, Lily Wood and The Prick, Beady Eye (le groupe de Liam Gallagher) ou encore Tryo.

A peine le temps de me remettre, que je me prépare déjà pour  le prochain festival. Ce sera vendredi avec les Eurokéennes de Belfort.

3 jours de festivités et 74 concerts : Blur en tête d'affiche, pour leur seul concert français cet été. Au bord du lac de Malsaucy, on pourra aussi applaudir les mythiques Smashing Pumpkins ou les français de Phoenix. C’est l'un des plus gros festivals français, qui attire également de plus en plus de britanniques. L'occasion en plus de réviser également votre anglais donc…Un bon argument pour se faire offrir des places par papa et maman.

Si vous êtes plutôt dans le Nord, réservez pour le Main Square Festival d'Arras. Bulldozer des festivals, avec en tête d'affiche Indochine, pour leur unique pause festival dans leur tournée Black City Tour. A leur coté sur scène dimanche (7 juillet) Lou Doillon et Stereophonics.

On vous reparlera des festivals et bons plans de l'été tous les jours à cette même heure.

LES FILMS FRANCAIS BOIVENT LA TASSE

La Fête du Cinéma qui a démarré hier sauvera-t-elle la production française ? C'est la question du parisien/Aujourd'hui en France qui revient sur un mois de juin désastreux pour le cinéma tricolore. On vous en dit plus à 7h20.

Le cinéma français affichait une santé insolente au Festival de Cannes. La situation s'est nettement assombrie. Paradoxe rare, la fréquentation des salles a été aussi médiocre que la météo de ce mois de juin. Alors qu'on profite en général des jours de pluie pour aller sécher en salle.

"Demi-sœur" de Josiane Balasko avec Michel Blanc n'a réuni que 180.000 entrées en 3 semaines, 200.000 pour "La Grande Boucle," le film de Laurent Tuel avec Clovis Cornillac, 150.000 pour le dernier Jamel Debbouze, "Né quelque part". Pas terrible tout ça.

Et ça ne va pas s'arranger ! Les distributeurs avaient programmé ces films en misant sur la 28^ème édition de la Fête du Cinéma et ses prix réduits pour doper leur fréquentation (3,50 € chaque séance). Mais il y a fort à parier que ce sont les blockbusters américains qui vont en profiter.

Alors comment expliquer ce désamour ? La France a produit l'an dernier un nombre record de films (279) soit, mais avec beaucoup moins d'argent. Une chute d'intérêt qui a redoublé après la polémique lancée fin décembre par le producteur Alain Maraval, qui dénonçait les trop gros salaires des acteurs.

Résultat : les chaînes investissent moins. Et pas dans des grosses prods, plutôt dans des films dits "du milieu" (4 à 7 millions d'euros). Michel Hazanavicius, réalisateur de "The Artist" dénonce, lui, une filière qui préfèrerait se payer en totalité avant la sortie d'un film plutôt que de se payer en fonction du box office. Tous les producteurs rêvent de l'équation : petite mise de départ pour gros pactole à la clé. Mais n'est pas "Intouchables" qui veut.

Alors un bon geste pour l’exception culturelle, pour la Fête du Cinéma, faites comme nous le conseille Fred Testot, l'un des parrains.

 SOURCE : Le Parisien/Aujourd'hui en France

VACANCES : QUEL TRANSPORT CHOISIR ?

Ça y est, on prépare son départ !

Première vague de départ en vacances le week-end-dernier, c’est parti pour s’échelonner jusqu’à fin aout… Avec toujours une question : quel transport est le plus économique ? Avion, train, voiture, que choisir ? C’est la question à laquelle répond le magazine Que Choisir ! Forcément.

Avec le coup d’envoi des vacances pour certains, le magazine Que Choisir s’est donné une mission simple : trouver le mode de transport le plus rapide et le plus économique pour se rendre 15 jours à Antibes.

Le profil des voyageurs : une personne seule d’un côté, une famille de l’autre. Le match oppose la voiture, l’avion et le train. Dans leur scénario, ceux qui optent pour l’avion et le train louent une voiture sur place pour deux semaines. Et en ce qui concerne l’avion, le prix d’un taxi a été ajouté.

Hé bien, à la grande surprise, la SNCF est LA déception de ce comparatif. Dans tous les cas de figure, sans exception, il y a plus rapide et moins cher. Prenons Strasbourg-Nice en famille (2 enfants). Il faut compter 3h15 et 980 € en avion. Si on choisit le train, le trajet dure 8h50 et coute 1200 €…

Alors oui, côté bilan carbone, le train est toujours gagnant mais c’est un peu mince.

Côté finances, pas de surprise, la voiture est systématiquement le meilleur choix pour la famille… Et de très loin ! C’est une à 3 fois moins cher qu’avec l’avion et le train. Le trajet est très long, fatiguant, soit. Mais on y réfléchit à 2 fois quand il s’agit d’économiser presque 1000 € sur l’aller/retour.

Plus étonnant, une personne seule a souvent intérêt, elle aussi, à prendre sa voiture plutôt que le train. Avec l’option covoiturage qui permet de diviser le prix d’un trajet par 3 ou 4.

Puisqu’on parle de prix, les automobilistes se focalisent trop souvent sur le carburant. Alors que le plus cher dans le cas de longs trajets, c’est les péages ! 72 € sur un Paris-Antibes, contre 65 € à peine de carburant en Clio.

Source : Que Choisir (le Magazine)