On le sait Barack Obama est doté d’un très grand sens de l’autodérision. Il a encore prouvé le 27 Avril dernier, quand lors du gala annuel de la presse accréditée à la Maison-Blanche, il a parodié la frange de sa femme Michelle, très commentée ces derniers mois.
Mais en matière de couacs et de gaffes, le couple Obama est pas mal non plus. On se rappelle de la sortie de Michelle, qui pendant une émission sur CBS sur la difficulté de concilier vie personnelle et professionnelle, a fait un étrange lapsus : « Croyez-moi, en tant que mère célibataire très occupée… » La première dame avait bien du mal à s’en sortir, et cette petite phrase avait évidemment relancé les rumeurs de problèmes dans leur couple.
En 2009, un vent glacial avait circulé dans les couloirs de Buckingham Palace où Michelle, toujours elle, croyant être devenu super-pote avec la reine Elisabeth II, avait passé une main dans le dos. Or le protocole interdit de toucher la reine.
Autre victime des Obama, la chef de l’opposition birmane, Aung San Suu Kyi. Après avoir déformé son nom, le président américain s’est précipité sur elle pour l’enlacer et l’embrasser. Or, toute effusion est très malvenue en Asie du Sud-Est, où la coutume veut qu’on se salue en joignant les mains. Très embarrassée, elle avait tenté d’éviter le baiser américain.
Mais Barack Obama est loin d’être le seul président gaffeur. Par exemple George W.Bush appelait les Grecs, des « Greciens », et les Kosovars, des « Kosoviens ». A Rome en 2001, il lance cette superbe phrase : « Je sais ce que je crois. Je continuerai à exprimer ce que je crois. Je crois que ce que je crois est bien. »
Bill Clinton en a fait une pas mal aussi. Après avoir reçu un cadeau lors d’un voyage à Bucarest, il écrit au président du Sénat Roumain : « Je vous remercie pour le drapeau et le poncho ». Le poncho était en fait le drapeau roumain percé au milieu pour effacer les signes communistes, symbole de la révolution de 1989.
SOURCE : VSD
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