QU’EST-CE QU’ON ATTEND POUR ÊTRE HEUREUX ?

Ça bouge au rayon bonheur ! Economistes, scientifiques et sociologues n’ont jamais autant planché sur le sujet.

ETRE DE BONNE HUMEUR POUSSE A SOURIRE… mais l’inverse est également vrai. Grâce à Paul Ekman, psychologue américain, on sait que le sourire active des centres de récompense dans la partie gauche du cerveau. Autrement dit, plus on sourit et plus on se sent bien. Mais attention, pas de sourire « cheese », les lèvres doivent se déplacer vers le haut et les yeux se plisser… Un vrai sourire !

MÂCHER DU CHEWING-GUM améliore, selon la Saint Lawrence University à New York, d’améliorer la mémoire en activant le cerveau au niveau de l’hippocampe, booste les performances intellectuelles, lutte contre le stress et possède même un rôle cardio-vasculaire comparable  à une séance de gym !

CARBUREZ AUX PETITS PLAISIRS : Les grands objectifs c’est bien, mais attention de ne passer à côté des petits plaisirs du quotidien, qui, selon le laboratoire de psychologie positive de Berkeley, permettent une vie plus agréablement remplie qu’un grand bonheur isolé. D’ailleurs, à la question posée par Ipsos « Qu’est-ce qui vous procure de la joie ? », les Français répondent : savourer un bon repas, faire des cadeaux, mettre des draps propres ou modifier ses itinéraires habituels.

JE N’AI PAS PLUS DE SOUS CETTE ANNEE ? JE RELATIVISE : Une augmentation de salaire ne rend heureux que quelques mois. Après on s’habitue. C’est prouvé : selon les économistes, c’est ce qu’on appelle l’adaptation hédoniste. En 9 mois, 40 % du plaisir est déjà évaporé et il faut gagner encore davantage pour être satisfait !