Sachez que pour un gros fumeur, il faut compter environ 80 minutes d'arrêt par jour ! Pas terrible pour la productivité. D'autant que cette population tombe plus souvent malade et s'absente donc davantage, 2 journées de plus par an, en moyenne.
En tout, selon les études, un salarié fumeur engendrerait un surcoût pour son entreprise de 2 500 et 5 000 € par an !
Les entreprises ont dans l'ensemble pris le problème très au sérieux et revu leur organisation.
1ère stratégie : La pédagogie : Certains DRH proposent à leurs cadres de leur payer des cures de sevrage. En 5 ans, près de 200 grosses sociétés ont ainsi fait appel à la méthode Allen Carr.
2ème stratégie : faire venir des tabacologues (compter 600 € par salarié pour une cure).
Tous les experts le disent : pour qu'une opération de sevrage soit efficace, il faut que le chef, fumeur ou non, y participe.
3ème stratégie : Encadrer les pauses. C'est la solution dissuasive. Chez Tele-performance, un logiciel indique aux téléopérateurs le moment où ils peuvent prendre leur dose de nicotine.
D'autres DRH espèrent décourager les fumeurs en leur réservant des coins de parking sordides ou des terrasses balayées par le vent.
La pause cigarette reste un sujet de tension dans les relations de travail. Entre fumeurs et non-fumeurs d'abord. Certains ne supportent plus les téléphones qui sonnent dans le vide dans les open spaces. D'autres s'énervent en cherchant à réunir 5 personnes pour une réunion…ailleurs qu'au fumoir.
SOURCE : CAPITAL
c'est vrai tout ce que vous dites il faut que les employés fument la cigarette électronique et le problème est réglé ! Plus d'infos qur le site http://www.cigamania.com distributeur de cigarettes électroniques
Rédigé par : Stephane | 25 février 2013 à 20:06