Ne pas aimer son prénom et maudire ses parents à chaque fois qu’on a à se présenter, c’est de l’histoire ancienne. Aujourd’hui, 9 Français sur 10 aiment leur prénom.
Les hommes et les jeunes un peu plus que les femmes et les personnes âgées, mais c’est un cri du cœur sans appel si l’on en croit une étude inédite sur le sujet menée dans toute l’Europe. « C’est un phénomène très nouveau et très révélateur » assure une sociologue.
Depuis quelques années, le prénom est devenu un marqueur identitaire et social majeur, obligeant les futurs parents à plancher pendant des mois sur une short list. Aujourd’hui, quand ils ne veulent pas donner le prénom de leur enfant avant la naissance, ce n’est pas par superstition, c’est par peur de se le faire piquer !
Autre preuve d’un changement marqué. Il ne viendrait plus à aucun gamin l’idée d’appeler un de ses amis de récré par son nom de famille comme dans les « Choristes » EXTRAIT
Et même l’entreprise s’est laissé contaminer par le phénomène. Si un patron continuera de vouvoyer sa secrétaire, il ne l’appellera plus Mme Machin, mais par son prénom. On est bien loin de l’époque d’ « OSS 177 » EXTRAIT
Et enfin que dire de la sphère politique, où le duel Nicolas-Ségolène a ouvert la voie du « prénom au pouvoir ». Et ce n’est qu’un début. Marine Le Pen n’a pas hésité à utiliser son prénom pour baptiser son rassemblement… C’était impensable il n’y a pas si longtemps. Qui se serait permis d’appeler Giscard Valery ?
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Quizz des barbus.
Voici des prénoms, à vous de trouver le pays ans lequel ils sont les plus populaires.
On commence facile : Nathalie, Jean et Nicolas :
La France
Karin, Michael et Ursula :
L’Allemagne
Krzysztof, Anna, Piotr :
La Pologne
John, Peter, Susan :
Le Royaume-Uni
Antonia et Maria :
Le Portugal
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