Terminé les voyages officiels, les escortes de la République et les dîners de gala. Depuis qu’elle n’est plus la compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler n’est plus sous les feux des projecteurs. Et plus de trois mois après son départ précipité du Château, la route paraît encore bien longue.
Même si l’ex-première dame ne dispose pas d’un grand réseau et n’a pas vraiment beaucoup d’amis, elle peut compter sur des soutiens assez inattendues comme Karl Lagerfeld qui a traité publiquement Hollande d’ « imbécile » et d’homme « cruel et sans cœur ».
Autre soutien inattendu : celui d’Alain Delon qui touché par cette séparation a tout simplement pris son téléphone pour la réconforter. Une conversation qui a débouché sur un déjeuner en tête à tête à deux pas de l’Elyse, le jour même de l’entrée au gouvernement de Ségolène Royal… Hasard ou coïncidence ?
Mais mis à part ça, Trierweiler ne peut compter que sur ses trois fils, son ex-mari et une poignée d’amis. Dans les grands médias, elle n’a aucun soutien de poids. Elle n’aurait même plus de bureau à Paris Match, où elle travaille depuis 25 ans.
Un journaliste du magazine raconte : « Elle nous en a fait baver depuis tellement longtemps. Considéré comme individualiste et hautaine, l’ex-première dame n’a pas hésité à passer des savons aux patrons de magazine pour des articles qui ne lui convenaient pas. La roue a tourné et les comptes vont être réglés. »
Son futur, beaucoup d’observateurs le voit dans l’écriture d’un livre. Si on lui proposait 500 000 euros d’avance dans les premières semaines qui ont suivi l’affaire Gayet, le soufflé est retombé. Aujourd’hui, ça tourne plus autour de 150 000€.
Pour un patron de maison d’édition, un livre sera un bon coup marketing parce qu’on parlera beaucoup du livre, mais il est persuadé que les ventes ne suivront pas. Pourquoi ? Parce qu’on n’achète pas le livre d’une personne que l’on n’aime pas.
Il lui reste pourtant encore une carte à jouer. Elle et François Hollande n’ont pas réglé la question financière de leur séparation. Trierweiler veut prendre son temps, car elle sait que, tant que tout n’est pas finalisé, un lien existe encore entre eux. Cette question est très importante car elle ne dispose d’aucune fortune personnelle.
De l’avis de beaucoup, Trierweiler ne se remettra jamais de cette rupture avec fracas. Elle est passée du statut de première dame, avec bureau et équipe à l’Elysée, à son trois-pièces du 15ème.
SOURCE : VSD
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