En ce moment, que ce soit à
la télé, à la radio ou dans les journaux, on ne parle que du « blurring ».
Le « blurring » est le fait de ne plus délimiter clairement la frontière entre travail et vie privée. Par exemple : Envoyez un e-mail professionnel pendant un dîner ou emmener son ordi pro en vacances.
Mais ce qui est intéressant, c’est que le « blurring » n’est pas perçu de la même façon en fonction de l’endroit où on vit.
Les champions toutes catégories confondues sont les Brésiliens et les Chinois. En plus d’être pratiquement deux fois plus nombreux à emmener leurs ordis, smartphones et tablettes pro en vacances et en week end, ils considèrent que le « blurring » est un très bon moyen de se développer professionnellement… Un raisonnement qu’on ne partage pas vraiment…
Les Américains, pas forcément les plus gros adeptes du « blurring », trouvent que de travailler depuis la maison grâce entre autre à la vidéoconférence, leur permet d’être plus productif, de passer moins de temps au travail et plus avec leur famille.
Contrairement à ce qu’on pourrait penser Français et Allemands mélangent moins sphère professionnelle et sphère privée. Nous aurions même l’opinion la plus négative quant au fait de posséder un équipement pro utilisable de chez nous.
D’ailleurs, rapport de cause à effet ou pas, c’est aussi nous et les Allemands qui passons le moins de temps à faire nos trucs perso pendant que nous sommes au travail.
Enfin, ce sont les Britanniques et les Australiens qui sont les plus nombreux à considérer le « blurring » comme néfaste pour leur vie privée.
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