Youki, comme le surnommait Roselyne Bachelot, n’avait ni les yeux ni les oreilles dans sa poche. Voici quelques morceaux choisis.
Sur François Fillon : Mitterand se dit « frappé par la beauté physique » du premier ministre, « ce dont personne ne parle jamais, je me demande bien pourquoi ».
« C’est quand il donne l’impression de regarder dans le vide qu’il vous observe le plus attentivement et jauge la situation. Le lézard mexicain immobile, accroché à son mur. »
Sur Roselyne Bachelot : La ministre de la Santé et des Sports aurait aimé être ministre de la Culture raconte Frédéric Mitterand. « Quand elle vient dans mon bureau, elle me fait penser au croque-mort de Lucky Luke qui prend les mesures de ses futures cadavres. »
Une de ses collègues glisse même : « Elle est amoureuse comme une gamine d’un baryton qui a du coffre. J’espère qu’ils ont renforcé la literie. »
Sur Jean-Louis Borloo : Cette fois, c’est Nicolas Sarkozy qui se demande : « Mais enfin, pourquoi est-il toujours fichu comme l’as de pique ? Pourquoi nommer Premier Ministre un type qui s’obstine à avoir un tel look de pirate ? »
Sur Rachida Dati : François Fillon ne la supporte plus : « La fouteuse de merde intégrale ! On ne peut absolument pas compter sur elle, elle ment comme elle respire. Elle me casse les burnes, excusez-moi, mais il n’y a pas d’autre mot, elle me casse les burnes ! » Ambiance…
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