Face à la crise, tous les moyens sont bons pour réaliser des économies. Et parfois cela a des conséquences inattendues sur notre quotidien et ceux de nos voisins européens.
En France, les pizzas rétrécissent : Selon une étude réalisée auprès de 110 pizzerias, les pizzas ont diminué de taille en 2012, passant de 32 à 31,3 centimètres de diamètre... alors que le prix d'une pizza a connu à l'inverse une hausse : 10,40 euros en moyenne pour une pizza servie sur place en 2013, contre 9,70 euros en 2012.
La France reste tout de même sur la 2ème place du marché mondial de la pizza, avec près de 20 pizzas consommées en moyenne par an et par personne.
A Mulhouse, la température de la piscine a baissé d'un degré : Puisque les dotations de l'Etat aux communes vont baisser cette année, à Mulhouse, pour faire des économies, la ville a décidé de baisser la température de l'eau des piscines d'un degré. Cette mesure permettra de réaliser une économie de 240.000 euros.
Les femmes mettent plus de rouge à lèvres et rallongent leurs jupes : D’après une sérieuse étude de chercheurs en économie, les femmes auraient tendance à utiliser plus de rouge à lèvres en temps de crise. Ils appellent ce phénomène, le « lipstick effect » : elles chercheraient à attirer des hommes riches. La cosmétique est d’ailleurs l’un des seuls secteurs épargnés par la crise.
Mais dans le même temps, les femmes auraient tendance à mettre des jupes plus longues. Il s'agit ici de la « hemline theory » (théorie de l'ourlet) élaborée en 1926 par un économiste américain. Selon lui, les femmes auraient moins tendance à montrer leurs jambes en période de crise, et inversement...
En Espagne, les candidats d'un jeu télévisé privés de leurs gains : La société qui produit l'émission « Des chiffres et des lettres » version espagnole n'a pas pu payer les vainqueurs depuis deux ans. Et ils seraient une cinquantaine dans ce cas. "Il y a des gens à qui la production doit jusqu'à 8.000 euros", raconte le journal El pais.
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