Vendredi on a eu le droit au deuxième épisode d’une des téléréalités les
plus affligeantes de ces dernières années : Splash. Si vous ne connaissez
pas encore le principe, on vous le rappelle : dix-sept « stars »
s’affrontent dans un concours de plongeon…..
Malgré ça on a quand même réussi à trouver des concepts pires dans d’autres pays :
«Killer Karaoke»: Chanter… quoi qu’il arrive : L’émission a commencé il y a quatre mois aux Etats-Unis. Le principe : Les candidats doivent chanter (du U2 ou du Sting) sans s’arrêter en traversant par exemple des cages à serpents, des bassins remplis d’anguilles ou en recevant des décharges électriques. La version anglaise, «Sing if You Can», cartonne et réunit des millions de téléspectateurs.
«The Hunt»: Se capturer les uns les autres : Aux Etats-Unis toujours, la chaîne CW vient d'acquérir «The Hunt», une télé-réalité directement inspirée de la saga Hunger Games. Pendant un mois, douze équipes de deux sont lâchées dans la nature sans nourriture, eau et abri. Elles devront s’appuyer sur leur force physique, leurs techniques de survie et leurs talents de chasse pour résister aux conditions extrêmes et se capturer les uns les autres.
«Spuiten en slikken»: Raconter sa vie sous l’emprise de la drogue : Le nom de l’émission, diffusée aux Pays-Bas depuis 2005, signifie littéralement «se piquer et avaler». Le concept ? Des chroniqueurs testent des drogues et des pratiques sexuelles, le plus souvent en direct. Ils s’expriment ensuite dans un talk-show. Pas sûr que le programme, qui a provoqué l’émoi de certains parlementaires néerlandais, puisse un jour être racheté par une chaîne française.
«The Biggest Loser»: Qui perd (du poids) gagne : L’émission est diffusé aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Australie, aux Pays-Bas et en Inde. Le but du programme : permettre aux candidats en surcharge pondérale de gagner 250.000 de dollars en perdant le plus de kilos possible. Et pour plus de suspense, la prod’ a rajouté une épreuve appelée « tentation » : Le candidat peut refuser un festin pour appeler un ami ou gagner un prix inconnu comme un vélo d’appartement.
«Gaki No Tsukai»: Subir une punition après un pari perdu : L’émission japonaise, dont le nom complet est «Downtown no Gaki no Tsukai ya Arahende!», cartonne pour ses jeux de punitions organisés après des défis perdus. Un exemple : les candidats de deux équipes doivent manger des marshmallows accrochés à des bouts de ficelles, debout avec le visage tiré vers l’arrière par une bande élastique collée sous leur nez. Les perdants devront soit faire une chute libre d'une hauteur de 4 000 mètres soit accueillir un groupe de personnes dans une chambre d'hôtel dans un costume de geisha soit nager dans les eaux froides.
SOURCE : 20mn.fr
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