Le Grand Morning sur RTL2

NATURE - DES JEANS QUI ONT DE LA BOUTEILLE

L’industrie du textile, souvent qualifiée de polluante à cause de toute l’eau et de l’électricité qu’elle consomme, a décidé de faire peau neuve. Elle a désormais recours à des technologies inattendues et « green », pour la confection du jean de demain.

La 1^ère application : le laser pour délaver les jeans a remplacé la pierre ponce, grand consommateur d’eau.

Dorénavant, et c’est une nouvelle qui va te ravir, nos jeans pourraient être colorés à base de vin (c’est gâché !).

Pour remplacer l’indigo, qui est LA teinture du jean la plus chimique, l’italien ITV et Christophe Nicolas ont pensé au vin. Ils ont développé un nouveau procédé, le « Wine-tex ».

De son côté, la société américaine Cone Denim, qui n’est autre que le fournisseur de Levi’s, joue la carte du recyclage. Les étiquettes sur ses pantalons affichent : « Soda pop green » ou « beer bottle brown ». Pourquoi ? Parce qu’une partie du fil provient du recyclage de bouteilles de bière et de soda.

Pour faire un jean, il faut sept bouteilles en moyenne. Donc en une soirée Christophe peut vous en faire 3 facilement.

Mais il est évident que pour que ça marche, il ne faut pas ces avancées se fasse au détriment de la mode… 

Du vin, des bouteilles vides… ça te dirait qu’on lance notre marque de jean…

COMMENT LES TABLETTES VONT CHANGER NOTRE MONDE

Merci Steve Jobs. En présentant le 1^er iPad, le 3 Avril 2010, il a créé un marché phénoménal.

D’ici à 3 ans, les ventes de tablettes pèseront  autant que celles de PC. Et ce qui est sûr, c’est qu’elles vont s’immiscer dans tous les aspects de notre vie professionnelle.

LE FEUILELTAGE TACTILE RELANCE LE PLAISIR DE LIRE LA PRESSE : Depuis Gutenberg, jamais l’écrit n’avait eu à connaître une telle révolution ! La lecture sur tablette, redonne espoir aux éditeurs, en remettant à l’honneur le plaisir de la lecture.

Il existe plus de 6000 applis dans le monde, dont 280 en France, pour lire quotidiens et magazines. Et le public est au rendez-vous : aux Etats-Unis, le numérique représente 15 % de la diffusion des quotidiens.

En France, « Le Monde » vend 25 000 exemplaires sur le Net et Capital 5 000.

DANS L’AVION, PILOTES ET PASSAGERS NE LÂCHERONT PLUS LEUR TABLETTE : Tout va changer, dans le cockpit comme en cabine. Air France équipera ses pilotes d’un iPad, pour accès plus rapide aux informations. Et les passagers pourraient bientôt embarquer une tablette à la main. Les compagnies veulent supprimer la distribution de journaux dans les salles d’attente et, à bord. Economie possible : 15 millions € / an.

LES GRANDS ORCHESTRES PASSERONT A LA PARTITION NUMERIQUE : on imagine le milieu de la musique classique comme l’un des plus hermétiques aux technologies. Eh bien non ! Le Brussels Philharmonic vient d’oser l’impensable : jeter au panier les traditionnels livrets pour les remplacer par des tablettes tactiles Samsung.

PENDANT LES VISITES TOURISTIQUES, ON GARDERA UN ŒIL SUR SON ECRAN : Découvrir la galerie des Glaces tout en regardant une scène de « Marie-Antoinette », de Coppola ou revivre le siège des Anglais autour du Mont-Saint-Michel… Ce genre d’expérience va se généraliser. Plutôt que les audioguides, les tablettes donneront accès à des visites « augmentées », grâce à des vidéos, des plans en 3D et des reproductions de dessins d’époque.

Et on en a déjà parlé, à l’école les tablettes commencent déjà doucement à remplacer l’ardoise et les classeurs.

Alors jusqu’où iront les tablettes ? Il est trop tôt pour le dire, car la révolution tablette ne fait que commencer.

POURQUOI RÂLE-T-ON ?

En France, nous adorons râler. Il existe même le championnat des râleurs. Et aujourd’hui de plus en plus de sites Internet sont entièrement consacrés à ce qui semble être considéré comme un art : le « ralling ».

POURQUOI RÂLE-T-ON ? : En moyenne, une personne râle entre 15 et 30 fois par jour. Selon Christine Lewicki, auteur de l’ouvrage J’arrête de râler, « la 1^ère raison, c’est que nous voulons tout : une vie conjugale, une vie familiale, sociale, professionnelle, toutes épanouies. Et nous essayons, dans notre emploi du temps surchargé, de jongler entre toutes ces envies. Alors dès qu’un grain de sable vient bousculer notre organisation, il fait tout exploser. Mais attention : il est illusoire de croire que nous pouvons passer une journée sans être frustré par quelque chose. »

Pour le psychanalyste Robert Neuburger, les râleurs désignent les autres comme responsables et leur rejettent la faute. « Blâmer sans arrêt le monde, les gens, les situations est une façon de dire à celui qu’on inonde de ses griefs ‘prend mon malheur à charge ‘ »

RÂLER NOUS EVITE DE CRAQUER : Et oui, ronchonner a aussi des points positifs : cela évite de faire une bêtise sous le coup de la colère. Car ruminer sa colère est au contraire très mauvais : quand on râle, c’est que l’on est en train de se calmer ! A un moment, il faut évacuer la pression. Dans les situations de tension, maugréer évite le passage à l’acte.

RÂLER CREE DES LIENS : Une psychologue a récemment montré que lorsque 2 étrangers se rencontrent, ils développent plus d’intimité entre eux s’ils partagent des opinions négatives sur un tiers. « Râler est une conversation très facile. Elle n’appelle personne à réfléchir, à s’investir ». Râler en groupe, contre la même chose ça rapproche, et ça créé un sentiment d’appartenance !

TENDANCE - LE YOGGING

Malheureusement Christophe le sait mieux que nous tous, lui le sportif exemplaire du 21^ème siècle : quand on court régulièrement, comme toi qui rentre à la maison en petites foulées, le corps a tendance à se raidir… Tu le sens bien que ça se raidit, Christophe.

Les muscles, tendons et articulations peuvent créer des raideurs douloureuses, et ce malgré des séances d’étirement qui, dans le cas de Christophe, s’étendent parfois sur plus de 2h.

C’est dans cette optique que Jennifer Aknin, ton associée sportive, a créé le yogging.

Contraction de yoga et jogging, et inspiré du vinyasa yoga, (un yoga dynamique), chaque cours débute comme la journée de Christophe, par la Salutation au soleil, un enchaînement de postures qui étirent tout le corps en douceur et en profondeur.

Le cours se poursuit avec différentes postures qui font travailler la sangle abdominale et le périnée, qui est lui aussi, tu le sais bien, fragilisé par la course à pied.

Autre atout : on redécouvre son anatomie et on prend conscience de l’existence de zones oubliées ou négligées. Avec le yogging,

Depuis que Christophe « yogge », il a amélioré sa posture, ses foulées et même sa façon de courir.

Objectif : Les championnats du monde d’athlétisme de 2013 à Moscou !

DELARUE : L’AUTOBIOGRAPHIE QUI DERANGE

C’est un livre très attendu, qui suscite la polémique avant même sa parution. Mercredi, les « Carnets secrets » de Jean-Luc Delarue seront publiés.

Il y raconte ses souvenirs d’enfance, ses relations conflictuelles avec des parents, sa plongée dans ses vices, sa maladie et son amour pour Anissa.

Elisabets Bost, la mère de son fils et le père de l’animateur s’oppose à la sortie de ce livre et ont même demandé l’annulation de la publication.

Le Parisien se l’est procuré en exclusivité. Voici les meilleures pages :

SUR SA FAMILLE : Tout au long du livre, Delarue est dur avec elle : « Depuis de longues années, je laisse entre les miens et moi une distance de sécurité. Ma famille me rend malade. D’ailleurs quand je veux écrire le mot famille, ma main écrit faille. »

A propos du tweet qui, en juillet, a faussement annoncé sa mort, il dit : « Aucune nouvelle de ma famille. Mon décès n’a pas l’air de les inquiéter. »

SUR SA MERE : C’est à propos d’elle que le Delarue a les mots les plus cruels. « Au fond, il y a toujours eu un malentendu entre nous. Et ce malentendu a atteint son apogée en 2007. Par un échange de lettre, j’ai appris qu’elle avait oublié de m’inviter à une cérémonie pour les 10 ans du décès de ma grand-mère, la femme que j’ai le plus aimée de ma vie ! Tout le monde était là, sauf moi. Pourquoi ? A cause de mes colères, écrivait ma mère, qui effraient tout le monde. »

SUR SON FILS, JEAN : « Je le vois, mais pas autant que la loi m’y autorise. » Il raconte : « Je n’ai pas eu mon petit Jean le week-end dernier, sa maman m’a dit qu’il était malade. Quand je l’ai revu plus tard, je lui ai demandé s’il allait mieux. Il a fait des yeux étonnés. Il m’a dit que la mer était belle à St-Tropez et qu’il s’y était bien amusé. »

SON ARRESTATION DE SEPTEMBRE 2010 : « Mon meilleur ami, à cette époque, avait été arrêté pour détention de drogue. Afin d’échapper aux poursuites, il a proposé aux policiers de leur vendre ma tête. Le stratagème a fonctionné, puisqu’il n’a pas été mis en examen, alors que les 20 autres personnes et moi l’avons tous été, sans exception. Sauf lui, mon ami depuis de longues années… »

SUR SA PRETENDUE « FILLE CACHEE » : Sans la citer, le livre évoque Kelly M., cette femme qui prétend être la mère de la fille de Delarue et a engagé une procédure de reconnaissance de paternité. « Je suis las de toutes ces groupies qui se sentent chez elles dans mon intimité. Il y en a une qui vient depuis 15 ans à toutes les émissions. Quand ma concierge m’a affirmé l’avoir vue de très nombreuses fois au bas de mon immeuble, j’ai demandé qu’elle soit refoulée de mes émissions. Quelle surprise de recevoir une assignation en reconnaissance de paternité. Telle l’Immaculée conception, elle aurait fait un enfant toute seule, habitée par l’esprit sain qui régnait sur les plateaux. »

COMMENT SUSCITER LES APPLAUDISSEMENTS DU PUBLIC

Pas besoin d’être une bête de scène pour déclencher une ovation après un discours. Un minimum de préparation, quelques astuces et le tour est joué.

Allez-y au culot : Incarner Indiana Jones le temps d’une convention… Vous n’oseriez pas. Et bien un directeur de Bosch a tenté le coup lors d’un séminaire. Il a débarqué sur scène avec la musique du film. Ce qui lui a valu un tonnerre d’applaudissements.

La règle d’or : Toute intervention se prépare. Les meilleurs orateurs n’y coupent pas. Beaucoup de gens ignorent que Steve Jobs passait des heures à répéter ses présentations.

Peaufinez particulièrement votre accroche, car le cœur du public se gagne dès les premières minutes… ou jamais. L’humour peut être une bonne entrée en matière, mais attention : dans ce registre, vous n’avez pas le droit à l’erreur.

«Débuter par une blague, comme dans les séries américaines, est une fausse bonne idée», avertit une coach en com. A moins de s’appeler Jerry Seinfeld – et encore –, le risque de faire un bide est réel. » Essayez de commencer par un sondage à main levée, toujours efficace pour capter l’attention.

Impliquez-vous physiquement : Si vous voulez que la salle s’enflamme, donnez-vous les moyens de «mettre le feu». On ne galvanise pas un public en restant recroquevillé comme un petit vieux. Levez-vous de votre chaise, redressez le torse, relevez le menton, décroisez les bras et n’hésitez pas à faire quelques pas pour attirer l’attention.

Vous ne savez pas où poser les yeux ? Regardez vos auditeurs un à un. Vous prendrez ainsi le pouls de la et si vous voyez des gens pianoter sur leur smartphone ou parler à leur voisin, il est probable qu’ils s’ennuient.

Terminez en apothéose : Redoublez d’énergie à la fin, car vous entrez dans la phase la plus propice aux applaudissements. Une chute bâclée peut gâcher un bon discours. Une astuce pour transformer vos auditeurs en acteurs : Repasser du «je» au «nous», comme Barack Obama avec son slogan «Yes, we can».

Quoi qu’il en soit, ne baissez jamais les yeux ni la voix pour prononcer vos derniers mots. Au contraire, élevez le ton, soutenez le regard de la salle, scandez vos phrases comme si ce que vous aviez à dire était crucial pour le reste de l’humanité. Et quand vous aurez fini, marquez un silence prolongé.