Le magazine « Ca
m’intéresse » a sondé les français sur la chance :
- A la question « pensez-vous que la chance existe ? », le panel a répondu oui à 78 %
- A la question « pensez-vous que l’on peut provoquer la chance », le panel a répondu oui à 55%
Il y a différentes sortes de chance. Un neurologue l’a classé en 3 types :
Type 1 : c’est la chance aveugle, celle qui vous tombe dessus par hasard.
Type 2 : elle est accidentelle, mais vous y êtes un peu pour quelque chose. Par exemple, vous avez une nouvelle passion, toi Christophe c’est le jardinage, et là tu dines chez un ami, Michou, et qui est à table ?! : Stéphane Marie !
Type 3 : La chance qui doit peu au hasard. C’est votre attitude dans la vie et vos centres d’intérêts qui renforcent votre capacité à créer des opportunités et à les saisir. C’est sur cette chance là que vous pouvez vraiment agir.
Il faut bien différencier la chance de la réussite : Quand quelqu’un réussit, on dit qu’il a eu de la chance. Pourtant, il n’aura pas forcément l’impression d’avoir été chanceux. Il aura connu des échecs et su persévérer.
La chance ne fait pas tout, il faut être prêt. Un psy nous dit que « c’est un accélérateur. Et un coup de chance peut même être néfaste si on est incapable de saisir une opportunité. »
Réussite et chance sont donc différentes, mais on un point commun : elles peuvent être grandioses ou modestes !
Et pour ce qui est des grigris ? Lors d’une expérience, une psy a remis une balle de golf à des joueurs. A la moitié d’entre eux, elle a dit que leur balle avait porté chance. Et bien les sujets à la balle « chanceuse » ont mis 35 % de putts en plus. Ce phénomène, les psys l’appellent la « chance-placebo ».
Les sportifs adorent les porte-bonheur. « Sans, nous dit la psy, ils se sentent démunis, et devront faire plus d’efforts pour se mettre en confiance. »
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