C comme connard, l’insulte qu’a lancée Jean-Luc Mélanchon à un journaliste de la BBC, qui lui avait posé une question qui n’était pas du gout du candidat du Front de Gauche.
J comme le « je l’emmerde » d’Eva Joly à Corinne Lepage, sa concurrence écologiste qui l’attaquait sur sa mauvaise campagne.
L comme lune, l’objectif de Jacques Cheminade d’y aller pour extraire des matières premières. Il voudrait même un ministère de l’espace.
Mais L aussi comme les lunettes rondes d’Eva Joly. Certains lui ont dit que sa manière de les porter, très professorale l’ont handicapé dans la campagne. Sur le changement de couleur, de rouge à verte, elle répond que c’était pour marquer une nouvelle étape de sa vie.
M comme Méprisance, le terme improbable sorti de la bouche de Nicolas Sarkozy. Rien à envier à Royal en 2007 avec sa bravitude.
P comme Plein air et les meetings new génération, nouvelle mode de cette campagne présidentielle. Le pionnier c’est Jean-Luc Mélanchon et sa reprise de la Bastille (100 000 personnes).
P comme potes. Pour Philippe Poutou « c’est vachement mieux d’être avec ses potes à l’usine » qu’être en campagne présidentielle ! « La difficulté, c’est que là je suis tout seul sans mes potes. D’habitude on séquestre en groupe ».
S comme la Sarkohollandie, inventé par François Bayrou pour imager la bipolarisation de la vie politique.
T comme le ticket de métro, ou plutôt son prix, qui pour Nathalie Kosciusko-Morizet serait de 4 € et quelque. Très loin de son vrai prix, 1€70.
Zzz… comme l’ennui qui a saisi les Français et les journalistes pendant cette campagne, qui tourne en rond, qui n’aborde pas les bons thèmes et qui n’est pas à la hauteur des enjeux !
SOURCE : 20 minutes.fr
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