Le graffiti polluant à la peinture toxique, c’est fini. Tout du moins, c’est en passe de disparaître puisque les green artistes envahissent les villes.
En pratique, rien de plus simple que le green graffiti. Au lieu de dessiner avec des bombes de peinture, ces artistes nouvelle -génération embellissent les villes avec de la mousse végétale ou des feuilles.
C’est le cas de Anna Garforth, artiste londonienne qui dessine sur les murs de la capitale anglaise des « poèmes naturels ».
Elle réalise ses graffiti green soit avec des feuilles qu’elle attache à des poteaux au moyen d’épines, soit avec de la mousse qu’elle colle sur des murs grâce à un mélange de yaourt et de sucre. Ses textes verts ont pour but de faire réfléchir les passants. Et le résultat est surprenant!
Sur le blog et sur le Facebook de l’émission, vous retrouverez des photos de green graffiti !
D’autres artistes qui se revendiquent du même courant qu’Anna Garforth réalisent leurs oeuvres avec un Karcher ou une sableuse et font ainsi apparaître de nouvelles choses sur des graffiti déjà existants, à la couleur passée. Ils font le ménage dans les villes en somme ! Et inventent tout doucement une nouvelle façon de concevoir l’art de rue : le street art vert et éphémère.
Le cleantag (ou clean tag) ou tag propre vient de faire son apparition sur Lyon, Marseille et Paris, par le biais de Cleancom ( www.cleancom.fr ) qui propose de nouveau moyen de communication écologique et éphémère. (exemple : tag propre, tag sur neige, sur sable, glace et bois) « Ayez un impact sur vos clients pas sur la planète » (cf) Cleancom. (recherche active d'artiste et de créateur de communication écologique)
Rédigé par : Cleancom Cleantag | 16 juillet 2012 à 10:41