
Partir, en ayant l'assurance de revenir et surtout de garder son job, c'est possible. Mais pas n'importe comment.
Il vous faut d'abord définir un projet, qui, selon le type de congé, pourra être accepté, ou refusé, s'il est considéré préjudiciable pour l'entreprise.
Il existe diverses formes de congés, mais ils sont rarement rémunérés :
- Le congé individuel de formation : Permet de se former pour une durée maximale d'un an.
- Le congé création (ou reprise) d'entreprise : Un an, renouvelable une fois (il faut avoir une ancienneté de 24 mois chez l'employeur)
- Le congé parental d'éducation : Peut durer un an, renouvelable 2 fois, jusqu'au 3 ans de l'enfant. Un an d'ancienneté dans l'entreprise est requis.
- Le congé de solidarité international : 6 mois pour le compte d'une association humanitaire agréée ou d'une organisation internationale dont la France est membre
- Le congé d'enseignement ou de recherche : Un an pour effectuer une mission pédagogique
- Et enfin, le congé sabbatique : Sans motif, il permet de s'absenter de 6 à 11 mois. Il faut néanmoins avoir 6 ans d'activité professionnelle dont 36 mois dans la même entreprise.
Lu dans le Parisien Economie
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