Comme Pharell, on veut tous notre part de bonheur. C’est d’ailleurs le sujet en vogue en ce moment. On en parle partout, à la télé, dans les journaux et donc… à la radio.
Et comme pour tout, il y a des champions. Et ceux qui remportent la palme du bonheur, ce sont les Danois. Il faut dire qu’on n’a pas grand-chose en commun avec eux :
A Noël, ils s’offrent des slips et des épluches-pommes de terre, ils votent massivement à chaque élection, sont content de payer leurs impôts, et attendent que le feu passe au rouge pour traverser, même à trois heures du matin. Mais quels sont leurs secrets pour être toujours « happy » ?
Déjà, ils aiment l’école : le système danois ne cultive pas d’élite. L’important n’est pas d’être le meilleur. Le but des profs : que tout le monde comprenne et qu’il n’y ait aucun exclu.
Les enfants savent se débrouiller tout seul : Les 2/3 des 13-17 ans ont un job à côté de l’école pour payer eux-mêmes leur loisir, sans demander à papa-maman.
Ils ont des attentes réalistes : Comme les Danois ne s’attendent pas à être les meilleurs, ni à briller devant les autres, ils sont plus satisfaits de leur situation et de ce qu’ils ont.
Ils quittent le bureau à 16h et n’hésitent pas à faire une partie de leur travail à la maison pour mieux s’occuper des enfants et de la famille.
Ils détestent les vantards : Tu connais la « loi de Jante » ? C’est un concept basé sur la modestie, qui dit qu’il ne faut pas se croire supérieur aux autres ni penser qu’on peut leur apprendre quelque chose.
Et enfin, ils ne connaissent pas la galanterie : Au Danemark, quand un homme propose un rendez-vous galant à une femme, il n’est pas forcément obligé de l’inviter à dîner. Très souvent, la femme paie sa part, et calcul même parfois la somme exact de ce qu’elle a commandé.
Une Danoise raconte qu’après un rendez-vous, son compagnon d’un soir la ramène chez elle, et une fois devant sa porte lui demande gentiment de payer… une partie de l’essence. Rien de plus normal là-bas.
SOURCE : LE POINT
Commentaires