Samedi dernier, François Hollande est allé présenter ses vœux aux Corréziens… Et il n'est pas venu seul. Une véritable meute de journalistes était là, jusqu'au très prestigieux "New York Times".
La preuve que les quelques clichés publiés par Closer la semaine dernière, ont bousculé le cours du quinquennat de François Hollande. Mais, alors qu'il a dévoilé la vie cachée du Président, on ne connait rien de celui qui était derrière l'objectif.
Hé bien le fameux paparazzi par qui tout a commencé s'appelle Sébastien Valiela. Il travaille en solitaire. Il guette sa proie patiemment, réalise ses scoops comme de vraies opérations commando. Il raconte ne faire que de la planque, chose que presque plus personne ne fait.
Dans le milieu, il est considéré comme le numéro 1, l'as des as. Il faut dire qu'il était déjà sur la piste de cette fameuse relation en Juillet dernier. Il commence à en parler à droite à gauche. Paris Match n'en veut pas. Il considère l'histoire trop tordu et risquée puisque c'est l'employeur de la première dame. "Closer", lui, n'a pas de scrupules à publier.
Cet énorme scoop mondial n'est pas son coup d'essai. Il y a déjà 20 ans, c'est lui qui avait révélé en Une de "Paris Match" l'existence de Mazarine, la fille cachée de François Mitterrand. Il avait alors 23 ans !
Christophe : Est-ce qu'on connait un peu les techniques des paparazzis pour choper le scoop ?
Louise : Pour traquer le moindre scoop, les paparazzis guettent, traquent, enfument. Ils entretiennent des réseaux d'informateurs dans tous les milieux : personnel des aéroports, des hôtels de luxe, flics, voyous, des politiques et des gens du showbiz. Ils se déguisent souvent, se font passer pour des policiers, des membres de la famille ou des poseurs de moquette. Sans foi, les paparazzis n'ont qu'une loi : "Ne pas avoir de chance dans ce métier est une faute professionnelle."
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