Comme on peut s’en douter, en 2053, le monde du travail n’aura plus rien à voir avec aujourd’hui. Plusieurs experts de l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail ont mené des recherches, et ont fait une liste de prévision de ce qui devrait nous attendre…
- Dans 40 ans, les open-space et les bureaux tels qu’on les connait n’existeront plus. On travaillera de chez soi ou dans des espaces de co-working comme dans des cafés par exemple.
- On devrait avoir des journées de travail plus courtes, mais on travaillera plus longtemps. D’autant que certains scientifiques prétendent qu’il n’est pas absurde de penser que les enfants qui naissent aujourd’hui pourront vivre bien au-delà des 100 ans.
- Terminé le big boss. Hé oui, les managers n’existeront plus, et les organigrammes complexes des entreprises auront disparus.
- Dans 40 ans, il sera aussi courant d’enchaîner des métiers différents.
- Les robots auront pris la main sur la plupart des métiers manuels. Certains, qui seront en vente dans 5 à 10 ans, seront en mesure de reproduire exactement les mêmes gestes qu’un humain…
Bon ça c’est pour dans 40 ans, on a quand même le temps de voir venir. Mais il y a quelque chose que je ne connaissais pas, c’est la location de salariés. Depuis 2009 l’échange de main-d’œuvre est parfaitement légal.
La pratique n’a pourtant rien de nouveau : les clubs de foot se prêtent bien des joueurs depuis des années. Hé bien par exemple, les entrepreneurs du bâtiment aussi peuvent s’échanger des maçons ou plombiers en fonction des urgences. Ça permet souvent d‘éviter aux entreprises de mettre des salariés au chômage technique.
Evidemment, ce type de location est bien réglementé. Si un artisan coute 30€ de l’heure à son employeur, il ne peut être loué qu’à ce même prix. Et bien sûr, cette location ne peut se faire qu’avec l’accord du salarié.
Commentaires