Pourtant Poutine vient d’une famille très modeste. Sa mère était gardienne et son père ouvrier. Le judo est un moyen pour lui de s’en sortir… Et puis le KGB. C’est à 16 ans qu’il décide d’y entrer. Ensuite l’ascension, on la connait !
Mais Poutine a d’autres passions. Il aime chasser le renne ou pêcher le brochet. Depuis deux ans, il découvre les joies du hockey sur glace. Et certains soirs, à 22h, il enchaîne les pompes sur une patinoire de Moscou.
Mais l’essentiel de son temps, il le passe dans sa datcha. Sa journée commence par la lecture de rapports. A 9h, le maître du Kremlin soulève des poids comme un robot, avant d’enchainer avec 1km à la nage.
A midi sonne l’heure du déjeuner. Au menu, bouillie, œufs de caille et boisson énergisante à base d’ail. « Une potion dégoutante, avoue un journaliste. Ca sent même l’ail dans sa Mercedes ! »
Poutine soigne sa santé. Il mâche sa viande un nombre de fois très précis, et refuse de porter sa montre au poignet gauche parce qu’elle gêne la circulation du sang vers le cœur.
Soucieux aussi de son physique, il a recourt à des séances de Botox et probablement à la chirurgie esthétique. Résultat, il faudrait parfois 4 couches de maquillage pour masquer ses boursouflures.
Mais dans sa maison secondaire, Poutine partage tout de même sa vie avec un autre être vivant : son chien Koni. Les visiteurs surveillent toujours son attitude. S’il se frotte contre les jambes d’un invité, c’est que celui-ci est proche du boss.
En revanche, pas de trace de présence féminine. La vie sentimentale de Poutine est un secret bien gardé. On sait qu’il a deux filles, dont une mariée à un homme d’affaires. Attention à ceux qui touchent à la famille. Preuve en est : Il y a trois ans, une bagarre éclate entre un banquier et le gendre de Poutine. L’affaire remonte immédiatement à ses oreilles. Pas de clémence : le banquier échoue en prison. Et il y croupit toujours…
Commentaires