C’est confirmé, une histoire d’un soir peut devenir une love story : Après une vingtaine d’études sur le sujet, des chercheurs Canadiens sont parvenus à cette conclusion surprenante : le désir sexuel et le sentiment amoureux sont deux ressentis étroitement liés qui naissent dans la même zone du cerveau, le cortex insulaire.
Autre conséquence de cette étude : il est tout à fait normal de se sentir émotionnellement attaché à quelqu’un avec qui on vient de passer une folle nuit. Rien à voir avec de la dépendance affective ! C’est signe que notre cerveau fonctionne bien…
Pour être heureux, il suffit de peu : Un docteur en psychologie a montré dans ses travaux que plus les gens gagnent d’argent, moins ils savent savourer l’instant présent et les petits plaisirs de la vie. D’ailleurs, les études menées auprès des gagnants du Loto concluent que les chanceux retrouvent leur humeur habituelle quelques mois à peine après avoir remporté la mise !
Les célibataires entourés sont aussi épanouis que les couples : Toutes les études sont formelles : le bien-être est dans le lien. Les personnes en couple ont un meilleur score sur l’échelle du bonheur, sont plus optimistes que la moyenne et vieillissent en meilleure santé. Mais une thèse affinée affirme aussi que si les relations intimes sont essentielles, elles ne sont pas nécessairement sentimentales. Les amitiés profondes et durables sont tout aussi importantes. D’ailleurs les célibataires ont souvent avec les autres des relations plus étroites, positives et durables.
Notre optimisme dépend à 40 % de nous : Selon certaines études, nous disposons tous d’un « niveau de base de bonheur », plus ou moins élevé selon nos gènes, qui influence à 50 % notre capacité à être heureux. Ensuite, 10 % seulement de notre bonheur dépend de nos conditions de vie. Les 40% restants ne dépendent que de nous, ce qui laisse une bonne marge de manœuvre.
Source : Femme Actuelle
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