Marcher
les mains ouvertes, paumes orientées vers les hanches comme toi Christophe, dénote une personnalité
compassionnelle. A l’inverse, projetter ses paumes en avant indique une
personnalité plus narcissique. Les fatalistes, eux, orientent leurs paumes
plutôt vers l’arrière.
Avancer les bras collés au corps est révélateur d’un désir de fuite, puisque qu’on les colle comme ça quand on court.
Avancer en croisant les bras trahit un manque de confiance en soi.
Marcher en les balançant est, en revanche, une preuve de « bon état émotionnel », nous dit le chercheur en neurobiologie, et grand ami de Christophe, Sébastien Bohler. Une expérience a montré que plus on se sent bien moralement, plus on amplifie le mouvement de balancier de ses bras, et on a tendance à monter et descendre plus bas ses épaules.
Si votre interlocuteur marche à côté de vous en gardant les mains dans le dos, cela révèle une certaine indifférence à votre conversation.
Des chercheurs qui ont soumis un test psychologique à des hommes et des femmes après les avoir chronométré sur un parcours, ont découvert que marcher vite reflète, chez les femmes, une personnalité expansive, extravertie et chez les hommes un esprit ouvert et l’envie d’apprendre.
Inversement une « femme tortue » est plus introvertie, discrète et peu attirée par les mondanités. Chez un homme, cela exprime un tempérament plus conservateur et réticent face aux changements.
SOURCE : Marie-France
Commentaires