La crise touche tous les secteurs, et même ceux que l’on pensait à l’abri. Alors que l’on a connu ces dernières années la mode des Free Hugs, les câlins gratuits, désormais la générosité tactile, c’est fini !
On en vient même à se demander si les câlins deviendront bientôt des biens de 1ère nécessité qu’on pourra acheter au supermarché. D’ici là, des initiatives se mettent en place :
Au Japon, après les bars à chats, où on fait le plein de tendresse avec des minous, des « bars à câlins » ont vu le jour dans le quartier bien connu de Christophe d’Akihabara à Tokyo.
Le principe : Les clients se voient proposer une multitude de formules : Entre autre recevoir une caresse dans le dos, ou poser sa tête sur les genoux d’une hôtesse.
Même business aux Etats-Unis, mais peut être plus trash : une New-Yorkaise de 29 ans, Jacqueline Samuel propose ses talents de câlineuse pour 60 € les 45 minutes. Elle assure que cela n’a rien à voir avec de la prostitution : « Je crois que je suis née en sachant comment me blottir contre quelqu’un. Je trouve cela spirituel et amusant » raconte l’américaine. Et si vous voulez carrément faire la sieste avec elle, ça vous coûtera 140 € !
Mais la folie ne s’arrête pas là. Une veste qui répond au doux nom de « Like a Hug » se gonfle d’air comme un air-bag chaque fois que son propriétaire reçoit un like sur Facebook. Une façon de passer du virtuel au réel.
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