Si on peut tous décider de rayer de sa vie un ami ou une
copine qu’on ne supporte plus, au travail c’est mission impossible. On ne peut
pas se débarrasser de ceux qui nous dérangent. Ils font partie de l’entreprise.
Mais pas de fatalité au Grand Morning, nous avons des solutions :
Il y a : LE SANS-GÊNE SUSCEPTIBLE
Que vous soyez 5 dans le bureau ne le dérange pas. Quand il a un coup de fil à passer, il ne quitte pas la pièce, et comme il parle fort, c’est à nous de nous interrompre en attendant qu’il raccroche. Et si vous lui reprochez, il vous répond que ce n’est pas de sa faute si on est entassés dans la pièce.
Pour le neutraliser, « faites la même chose, conseille Alain Héril, psychanalyste. Prenez vos aises, et prévenez-le que vous jouez l’effet miroir. »
LE TIRE-AU-FLANC
Vous devez faire équipe, mais vous êtes le seul à bosser. Il a l’art de se défiler, et vous êtes coincé, car il faut bien que les choses avancent. Donc vous finissez par faire son boulot. Et en plus, comble de l’hypocrisie, il vous flatte du style « Toi, tu sais le faire mieux que moi »
Pour le neutraliser, par d’autre option que de le mettre face à ses responsabilités.
LE RÂLEUR CHRONIQUE
Dès le matin, c’est reparti : « La machine à café est encore en panne », « le boulot est complètement absurde » etc… On l’entend fulminer non-stop, et c’est vraiment usant. D’autant qu’il n’a pas toujours forcément tort.
Pour le neutraliser, jouez la carte de l’indifférence et de l’humour, qui a la vertu de détendre l’atmosphère et de relativiser son problème.
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