La fin des soldes c’est pour bientôt… le 14 Février, toutes les démarques seront terminées… Alors si vous n’avez pas eu le temps de faire vos emplettes ou si vous n’avez rien trouvé, ou si vous êtes déjà déçu par vos achats impulsifs, on a déniché pour vous des solutions alternatives…
Christophe, je vais égayer la fashion victim qui se cache sous ton petit cœur… A Milan, La société Kilo Fascion propose un nouveau concept : Acheter ses vêtements au kilo ! C’est-à-dire que le prix de votre prochain jean est calculé en fonction de son poids, comme si vous achetiez des poires ou des carottes.
Leur slogan : Diamo peso alla moda (donnons du poids à la mode)
Le stock est réparti en 3 catégories de prix au kilo, bas, moyen et élevé. Mais dans les 3 cas, les rabais proposés peuvent aller jusqu’à 80% !
Par exemple, une chemise en lin pour homme Gianfranco Ferré est à 40 € au lieu de 450…
A vous donc de choisir entre un kilo d'Armani, 500 grammes de Gucci et quelques grammes de Dior… Emballez, c'est pesé !
www.kilofascion.it, pour l’instant ça n’existe qu’en Italie, mais on ne doute pas que le concept devrait faire des petits et bientôt arriver en France.
Mais le shopping ce n’est pas que des courses effrénées pour arracher le dernier petit haut à la mode. Il peut permettre aussi de faire de bonnes actions. Sur le modèle des Charity Shops, qui font fureur en Grande-Bretagne, ou on trouve des vêtements griffés de seconde main pour trois fois rien, l’ONG Oxfam revend des bouquins offert pas des particuliers pour lutter contre la pauvreté.
Il y existe déjà 2 boutiques à Paris et 1 à Lille. Et d’autres vont arriver à Nantes, Lyon et Strasbourg.
J'ai entendu ce matin les commentaires sur l'affiche qui dérange, la seule idée interessante a été pour moi le commentaire d'Agathe pour une attitude plus Zen, je suis navré qu'aujourd'hui des petits incidents prennent autant de place dans les médias, ce genre d'affaire fait plus parler Pujadas que des radiations qui s'arrêtent aux frontières, on a perdu le sens des valeurs et des priorités, les personnes peuvent défendre leur principe, c'est un droit, mais gérer ces petits incidents en bon père de famille serait mieux, je ne me sens pas à ma place dans ce monde où l'on ne peut plus rien dire ni faire.
Je voulais donc remercier Agathe pour son commentaire sur le second degré, en espérant que nos journalistes en prennent aussi l'habitude.
Frédéric
Rédigé par : Frédéric Pascal | 02 février 2012 à 12:48