LE COUP DE LA CALL-GIRL
Payer une call-girl pour séduire un cadre de haut niveau ne coûte pas cher et peut rapporter gros. Selon le MI6, l’Intelligence Service britannique, les services secrets chinois disposeraient de plus d’un millier de jeunes femmes dont la mission consiste à draguer et à dépouiller les hommes d’affaires en visite.
Elles explorent les BlackBerry et recueillent les confidences sur l’oreiller.
L’ŒIL DU NET ET L’OREILLE DU TGV
Clé USB perdues, discussions à voix haute dans le TGV, cadres en mal de reconnaissance qui révèlent sur les réseaux sociaux les projets dont ils ont la charge.
« Les Français n’ont aucun culture du renseignement et de la sécurité. Parfois les secrétaires sont plus sensibilisées au problème de l’espionnage que les dirigeants » explique l’auteur du livre.
LA FOUILLE DES POUBELLES
Les gadgets n’ont pas remplacé les bonnes vieilles méthodes comme celle de la fouille. Les chambres d’hôtels des hommes d’affaires en visite à l’étranger, particulièrement en Chine, sont ainsi fréquemment visitées, tout comme les corbeilles des bureaux.
Une étude de 2008 menée auprès de 200 entreprises franciliennes, révèle que les poubelles d’au moins 65 % des entreprises contiennent des documents confidentiels.
LA TECHNIQUE DE L’APPÂT
Certaines entreprises pratiquent l’art de la désinformation en organisant des entretiens d’embauche dans le seul but de recueillir des informations sur leurs concurrents.
L’ASTUCE DES CLES USB PIEGEES
Rien de plus facile que de dégoter sur Internet des joujoux d’espion de plus en plus perfectionnés pour quelques 100aines de $.
Les keyloggers permettent, par exemple, d’enregistrer toutes les touches qui ont été enfoncées sur un clavier par un utilisateur et ainsi casser les mots de passe.
Il existe aussi des clés USB piégées qui une fois branchées aspire toutes les données du disque dur !
SOURCE : REPONSE A TOUT !
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