Le Grand Morning sur RTL2

TENDANCE – NON MAIS HALLO…WEEN

Plus les années passent et plus cette fête américaine fait des émules chez nous. Elle est de plus en plus tendance, mais avant de se déguiser en mort-vivant, vampires ou momie, on va d’abord fait un petit point sur la plus macabre des fêtes populaires :

En France, Halloween est la 3^ème fête la plus populaire de l’année, après Noël et le Jour de l’An.

Alors, les origines d’Halloween : L’Irlande est généralement considérée comme le lieu de naissance de la fête d’Halloween.

La coutume de s’habiller comme des démons et des fantômes vient de l’ancienne tradition celtique. Les villageois espéraient échapper à l’attention des esprits supposés errer dans les rues.

Fêter Halloween remonte à près de 4000 ans avant l’ère chrétienne. Cette fête est donc célébrée depuis plus de 6000 ans.

Ça mérite quelques petites infos sous forme de quizz, en 3 questions :

Sais-tu combien rapporte le business d’Halloween ? : Une étude américaine a estimé que les dépenses consacrées à Halloween (costumes, décorations, cartes, friandises…) s’élèveraient à 5,8 milliards de dollars !

En quoi était fait le premier Jack O’ Lantern (le nom donné aux citrouilles posées devant les maisons) ?  En navet !

Selon la tradition, que voit une personne qui porte ses vêtements à l’envers puis marche à reculons à Halloween ? : Une sorcière, à minuit.

Et puisque l’on parle déguisement, connais-tu LA tendance pour les hommes, les femmes et les enfants ? Ce sont les zombies ! La folie est telle que depuis 2 ans, des zombies walk sont organisées un peu partout en France. Et des morts-vivants, on en retrouve aussi au cinéma. 324, c’est le nombre de films de zombies référencés sur Wikipedia.

Halloween, on en reparlera bien sûr aussi le Jour J, c’est-à-dire jeudi.

TENDANCE – LE RETRO-GAMING

Kid Expo, le salon des 4-14 ans a rouvert ses portes samedi à Paris. Jusqu’à Mercredi, les enfants pourront faire plein d’activités mais ils pourront aussi découvrir en avant-première les jouets stars de Noël. Et ô surprise ! Les jouets de NOTRE enfance, nous les trentenaires (hein Christophe !) reviennent en force !

Albator ou les Cités d’Or auront le droit à leur adaptation ciné.

Les Power Rangers fêtent aussi leurs 20 ans et reviennent dans les bacs à jouets de nos petits. Et une tournée dans toute la France est prévue.

Mais le plus grand retour, c’est celui de Kiki qui fête ses 40 ans ! Véritable phénomène de société (plus de 50 millions de pièces vendues), le petit singe qui suce son pouce, connu par trois générations de Français, revient chez nous et retrouve son nom d’origine : Monchhichi (son nom japonais qui se prononce Monkiki)

Il tient son nom de la contraction du mot « monkey » et du son japonais « chu-chu » que fait le bébé en suçant sa tétine.

Après avoir conquis l’Australie, l’Allemagne et les Etats-Unis, il débarque en 1979 en France et obtient un succès phénoménal. En 2004, pour ses 30 ans, il se marie en grande pompe à Tokyo.

Bref, les jouets qui nous ont bercé ne sont pas prêt de disparaître… puisque c’est nous qui les achetons à nos enfants… peut être un peu pour nous faire plaisir d’abord…

TENDANCE – VIVRE 100% MADE IN FRANCE

Benjamin Carle, tu vois qui c’est ? Mais si, c’est le journaliste qui a décidé de vivre une vie 100% Made In France. Une expérience qui surfe évidemment sur un des thèmes majeure de la dernière campagne présidentielle… Et les désormais indispensables d’Arnaud Montebourg : marinière et cocotte Seb.

Une démonstration par l'absurde inspirée de « Super Size Me », le film américain qui dénonçait la malbouffe en se nourrissant exclusivement de McDo. Evidemment, Carle prépare aussi son docu pour Canal + au printemps prochain.

Pour mener à bien sa mission et surtout faire en sorte qu’elle soit la plus crédible possible, Carle a vidé son appartement de tout ce qui n'est pas produit en France. Et s'il n'existe rien pour le remplacer, on s'en passe. Résultat : Un appart vide !

Terminé donc les fringues made in China, plus aucun livre, de film ou de série étrangère, plus de matchs de Liverpool (son équipe préférée) et que de la musique française. Un coup dur pour ce fan de Bowie et de Radiohead.

Restent dans ses placards des verres Duralex, une veste militaire confectionnée à Lille et une paire d'espadrilles.

Il avoue que les courses au supermarché sont une vraie épreuve. Il faut éplucher les étiquettes, traquer les AOC. Sa lessive, il la fait dorénavant dans le couloir car les rares machines à laver françaises sont à chargement par le dessus, impossible d’en rentrer une dans sa cuisine.

Vous pouvez suivre ses aventures sur son Twitter !

TENDANCE – LE BLURRING A TRAVERS LES PAYS

En ce moment, que ce soit à la télé, à la radio ou dans les journaux, on ne parle que du « blurring ».

Le « blurring » est le fait de ne plus délimiter clairement la frontière entre travail et vie privée. Par exemple : Envoyez un e-mail professionnel pendant un dîner ou emmener son ordi pro en vacances.

Mais ce qui est intéressant, c’est que le « blurring » n’est pas perçu de la même façon en fonction de l’endroit où on vit.

Les champions toutes catégories confondues sont les Brésiliens et les Chinois. En plus d’être pratiquement deux fois plus nombreux à emmener leurs ordis, smartphones et tablettes pro en vacances et en week end, ils considèrent que le « blurring » est un très bon moyen de se développer professionnellement… Un raisonnement qu’on ne partage pas vraiment…

Les Américains, pas forcément les plus gros adeptes du « blurring », trouvent que de travailler depuis la maison grâce entre autre à la vidéoconférence, leur permet d’être plus productif, de passer moins de temps au travail et plus avec leur famille.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser Français et Allemands mélangent moins sphère professionnelle et sphère privée. Nous aurions même l’opinion la plus négative quant au fait de posséder un équipement pro utilisable de chez nous.

D’ailleurs, rapport de cause à effet ou pas, c’est aussi nous et les Allemands qui passons le moins de temps à faire nos trucs perso pendant que nous sommes au travail.

Enfin, ce sont les Britanniques et les Australiens qui sont les plus nombreux à considérer le « blurring » comme néfaste pour leur vie privée.

TENDANCE – LE HOME MARKETING

De Tupperware à la lingerie fine, en passant par les « jouets intimes », ou les produits pour bébés, ces dernières années le secteur de la vente à domicile s’est complètement diversifié.

Le concept venu des États-Unis dans les années 1960 ciblait surtout la ménagère de moins de 50 ans qui organisait ces réunions. Aujourd’hui, tout le monde s’y met. A tel point que les marques les plus prestigieuses y ont vu un filon à exploiter.

Alors le home marketing, qu’est-ce que c’est ? : Il s’agit d’organiser chez soi une soirée en utilisant les produits d’une marque sélectionnée.

Badoit, Microsoft ou Danone… Des dizaines de grandes entreprises ont déjà recours à ce marketing « humain » via la société Very Good Moment.

La recette est simple et c’est surtout un bon moyen (gratuit) pour les marques d’instaurer une relation de confiance avec les consommateurs en permettant de tester les produits.

Pionnière en matière de « Home Marketing », la start-up Very Good Moment qui a ouvert depuis seulement un an, connait un véritable succès avec plus de 27 000 inscrits. L’engouement est bel et bien réel puisque le site affiche complet jusqu’en mars 2014 pour l’organisation de soirées.

Alors si vous êtes tentés par une soirée, Canderel, Tic Tac, Acer ou Ferrero Rocher sont les prochaines marques à s’inviter chez vous.

Allez sur le site : www.verygoodmoment.com

TENDANCE - Des cafés où les poussettes sont les bienvenues

Le premier bar à chats a ouvert ses portes et ses litières ce week-end à Paris. On peut désormais déguster son capuccino tout en caressant sa boule de poil, tout en profitant des bienfaits de la ronronthérapie.

Mais ce n’est pas la seule révolution dans les bistrots ! Les « cafés des enfants », connaissent un vrai boom depuis la création du « Cafézoide » à Paris.

Le principe : permettre aux parents qui ne peuvent pas faire garder leurs enfants 24h/24 de prendre un café tranquillement, pendant que leurs bambins, eux, jouent dans des espaces dédiés.

Alors évidemment, le coin des grands… avec tout ce qu’il faut (hum…hum…) et celui des petits… avec tout ce qu’il faut aussi : piano, baby-foot, flipper, ordinateurs, livres, jeux de sociétés et même des ateliers peintures.

Selon la Fédération internationale des cafés des enfants, car oui il y en a une, il existe en France une trentaine de cafés associatifs de ce style notamment à Grenoble, Lyon, Lille, Nantes, Montpellier, Toulouse etc…

A Paris, la "Poussette café" veut, lui, faire rencontrer des futurs et des jeunes parents. Il y a aussi un espace dédié aux mamans qui viennent d’accoucher comme Louise, avec par exemple des cours de yoga et des ventes d’objets de créateurs destinés aux 0-6 ans.

Autre exemple « café grenadine », où les parents et leurs enfants peuvent en plus des spectacles de magie et de marionnette, participer à des ateliers d’anglais, de couture et même de tricots.

Quand Louise va nous rejoindre, on sait où on va faire les debriefs du vendredi maintenant !

CHRONIQUE TENDANCE : LES BABY-PLANNERS

Sur le modèle des wedding-planners, qui organisent les noces, la tendance est aux baby-planners, qui aident et aiguillent les futures mamans sur le chemin de la maternité.

En tête des prestations : le matériel de puériculture et surtout le choix de la poussette, qui fait partie des plus grandes angoisses des femmes enceintes.

Les différents sites, en plus de donner des conseils sur le choix de la maternité et de nous aider dans les démarches administratives, mettent aussi en garde contre les gadgets inutiles. La créatrice de l’agence B for Baby conseil aux mamans qui veulent investir dans un transat de le louer plutôt que de l’acheter vu que le bébé ne s’en servira que 6 mois.

Le site Comptez en mois propose un éventail de services : du ménage au retour de la maternité à la commande de plats tout prêts en passant par l’envoi des faire-part, voire même l’organisation du 1^er anniversaire.

D’autres sites comme Il était une fois bébé, se spécialisent dans la prévention des accidents domestiques, et montrent comment bien aménager la chambre du bébé mais aussi les gestes de premier secours.

Et pour ceux qui prépareraient leur mariage, comme souvent à la rentrée, il y a un nouveau rendez-vous à ajouter au traditionnel Salon du mariage, c’est le wedding debriefing, comprenez une réunion de mariage. De jeunes mariés viennent conseiller les futurs époux(se) et partagent leurs expériences. Plusieurs ateliers sont mêmes organisés comme un atelier beauté pour la mariée, un troc de cravates et de nœuds papillons pour monsieur, ainsi qu’une dégustation de cupcakes.

Un wedding debirefing a déjà eu lieu la semaine dernière à Paris et à Avignon. Les prochaines dates seront affichées sur le site www.lily-liste.com

CHRONIQUE TENDANCE : LE « SMSNANBULISME »

Que l’on se l’avoue ou non, on est tous complètement fous de notre smartphone, devenu un véritable doudou moderne. Accros aux mails, aux SMS, aux réseaux sociaux (on vous en a parlé dans la revue de presse)… Eh bien, certains sont accros… au point de l’utiliser dans leur sommeil.

Ce phénomène à même un nom aux Etats-Unis, le "sleep-texting", ou SMSnanbulisme en français. Et selon des spécialistes du sommeil, ce trouble (car c’en est un), serait en pleine augmentation. Bienvenu dans le somnambulisme 2.0.

Evidemment les plus touchés sont les ado, qui pianotent sur leur smartphone au beau milieu de la nuit pour se réveiller le lendemain sans aucun souvenir de ce qu'ils ont pu envoyer…

Le « sleep-texting » n’est pas sans conséquences : comme quand on un petit trop bu, on envoie des messages bizarres, que l’on a du mal à assumer le lendemain.

Et bien sûr, se réveiller en pleine nuit pour textoter interrompt notre cycle de sommeil profond. Ce qui affecte nos capacités intellectuelles du lendemain.

Pour résoudre ce problème, rien de bien compliqué : les spécialistes conseillent tout simplement d’éteindre son téléphone avant de se coucher, voire même de le laisser dans une autre pièce que la chambre.

Par contre, les spécialistes ne parlent pas du Minitel ou du Bi-Bop. Tu peux les utiliser tranquillement Christophe.

CHRONIQUE TENDANCE : LA VOITURE N'A PLUS BESOIN DE NOUS

Voilà un bon moment qu’on entend parler des voitures sans conducteur. 1^er à s’être lancé dans cette aventure en roue libre, Google vient même d’investir dans Uber, un service de taxis privés, pour lancer sa propre flotte de taxis autopilotés.

La firme a aussi réussi à faire modifier les lois de 3 états américains pour permettre à ses engins d'écumer les autoroutes.

Alors oui, vous vous dites qu’avec juste Google sur le coup et aux Etats-Unis, ce n’est pas prêt d’être en place ici. Détrompez-vous, Google n’est plus seul sur la route.

Après le lancement de sa voiture électrique il y a trois ans, Nissan rentre dans le jeu et annonce que sa voiture autonome, intégralement gérées par ordinateurs, pourrait voir le jour… dès 2020.

Un circuit est actuellement en construction au Japon pour tester cette voiture «révolutionnaire».

De leurs côtés Audi et Volvo ont présenté des véhicules reliés à une application qui leur permet de se garer seuls. Ils ont aussi fait la démonstration de modèles capables de maintenir automatiquement la distance de sécurité entre deux véhicules, d'accélérer et de décélérer en fonction des conditions de circulation et de s'autopiloter sur autoroute.

Alors, boire ou conduire, les constructeurs ont bien entendu les doléances du Grand Morning… On va enfin pouvoir reconduire !

CHRONIQUE TENDANCE : LE CAMPING, UNE TENDANCE QUI PERDURE

Fabien Ontenniente et Franck Dubosc l’avait bien compris, le camping est tendance !  Avec un chiffre d’affaire annuel de 2 milliards d’euros, c’est la 1^ère forme d’hébergement touristique marchande en France.  

Il séduit chaque année 6 millions de personnes, toi le 1^er Christophe ! On m’a dit que tu n’étais pas le dernier pour planter ta tante et faire sécher ton string en terre cuite sur un fil.

Mais même si camping rime avec détente, on ne peut pas y faire n’importe quoi. Alors, je t’ai prévu un petit quizz :  

Le camping est libre, c’est une chose. Mais est-ce que tu peux planter ta tante sous la terre Eiffel ? : NON

On peut faire du camping sauvage à la seule condition d’avoir l’autorisation du propriétaire du terrain. En tout cas, le camping est interdit sur les routes, les voies et les places publiques. Si vous bravez l’interdiction, vous risquez une amende de 1 500 euros.

Le gérant du camping est-il libre de fixer les tarifs qu’il veut ? : OUI

Alors pour éviter les mauvaises surprises, vérifiez que les prix sont clairement affichés. Pour vous donner une idée, le tarif moyen en 2012 pour une nuit varie de 14 € pour un camping une étoile, à 41 € pour un 5 étoiles.

Poubelles non vidées, W-C bouchés, piscine mal entretenue… est-ce je peux réclamer un remboursement ? : OUI

Constituez des preuves, prenez des photos, cumulez les témoignages. Et avec tout ça, vous pouvez décider de partir et réclamer les sommes versées.

Est-ce que si tu fais la fête tous les soirs comme tu en as l’habitude à Paris, le gérant du camping peut appeler les gendarmes ? : OUI

La loi ne s’arrête pas aux portes du camping. En cas de tapage nocturne, le gérant pourra vous donner un avertissement. Et en cas de récidives, il faudra plier bagage.