L’heure est à la révélation dans cette chronique : L’un des groupes préférés de Christophe, après Indochine et U2, vient de Colombie et répond au doux nom des « Latin Latas » que l’on pourrait traduire par « Boîte de conserve latinos ».
Son crédo : Ne rien jeter pour recycler les déchets en instruments et « chanter des odes à l’environnement. »
Son slogan : « Les ordures, ça n’existe pas. »
Le luthier du groupe, David Castiblanco se balade en bicyclette dans Bogota à la recherche d’objets abandonnés. Il sonde aussi les décharges publiques à la recherche de tout ce qui pourrait lui être utile : poignées de porte, clés, composants électriques ou encore vieux 33 tours. Tout est bon pour produire des sons. Le groupe a par exemple utilisé un pied de lit comme ossature pour l’une de leur basse.
Si vous voulez faire pareil, on a trouvé « Rékupertou » de Bruno Landy aux Editions musicales Lugdivine, un livre qui explique comment se fabriquer des instruments de musique à partir d’objet du quotidien. Un peu comme ce que vous avez fait la saison dernière avec le « vegetable orchestra » qui faisait de la musique avec des fruits et légumes.
Alors Christophe tu notes : par exemple avec 3 bocaux de confitures, un morceau de moquette, de la colle et du ruban adhésif tu peux te créer des bocaux-bongos. Un peu plus compliqué, avec des tuyaux de cuivre, du polystyrène et une paire de baguettes chinoises tu peux te faire un xylotube ! On mettra les photos de tes créations sur le blog.
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